La prise de parole en public
Tout au long de notre vie, nous avons eu à parler devant plusieurs personnes. Présenter un exposé quand nous étions jeunes élèves, parler du dossier réalisé dans le cadre d’un mémoire en études supérieures, ou encore s’exprimer en tant que professionnel face à des prospects sont des exercices qui ponctuent notre vie. Exercices qui ne sont pas toujours évidents, lorsque l’on manque de pratique et d’aisance. Si pour certaines personnes, prendre la parole est naturellement facile, pour d’autres, cela peut s’apparenter à une corvée, un moment de stress important avec une peur : perdre ses moyens. Comment peut-on assurer lors de prises de parole face à un public ? Quelles sont les clés pour captiver son auditoire ? Inspirez-vous de grands orateurs Nous avons tous entendu une excellent orateur une fois dans notre vie : les hommes politiques, à l’image de Barack Obama, l’ancien Président des Etats-Unis d’Amérique, ou encore de grands entrepreneurs comme Steve Jobs, regretté cofondateur d’Apple savaient s’exprimer et capter l’attention. Il est possible de s’exprimer avec une telle aisance et du charisme avec un peu d’entraînement. Commencez déjà par analyser l’attitude de ces grands orateurs, par exemple l’une des traditionnelles Keynotes pour le lancement d’un produit Apple. Steve Jobs est un excellent exemple pour toutes les personnes qui veulent pouvoir gagner en confiance lors de leur prise de parole en public. Il sait de quelle manière il peut emmener son public avec lui lors de ses discours, sans avoir été formé à cela. Il applique quelques méthodes indispensables pour que chaque discours se passe de la meilleure des manières, car cela permet de présenter un produit, un service, ou même soi. Tout est question de présence physique En analysant la vidéo, nous voyons qu’il se déplace sur la scène. Vous ne serez peut-être pas amené(e) à vous exprimer sur une scène face à une large audience, mais vous aurez tout de même votre espace : exploitez-le au maximum. Il faut pouvoir être présent physiquement dans cette zone pour pouvoir interpeller l’ensemble des personnes qui vous écoutent. Si vous restez statique, votre stress va se voir d’autant plus et votre auditoire va s’ennuyer. Le mouvement dynamise le discours. Vivez votre discours Un autre point qui est important et qui est parfaitement exprimé : la ponctuation et le ton du discours. Si votre discours est monocorde, sans accentuation de termes, votre public ne retiendra pas grand chose de votre allocution. Le débit de vos paroles est lui aussi important. Si vous parlez trop vite, votre discours ne sera pas compris par tous, et si vous parlez lentement, le public s’ennuiera. Adoptez un débit de parole normal, ni trop surjoué, ni trop robotique. Et surtout, évitez les “heu”, “mmmh” ou les grands moments de silences au milieu d’une phrase : vous perdez en crédibilité. En revanche, n’hésitez pas à faire des petites pauses entre vos idées, cela permet de structurer votre discours. Alternez entre faits pratiques, anecdotes pour appuyer votre discours et humour. Steve Jobs maîtrise particulièrement cet exercice, avec sa référence à la tablette des 10 commandements pour la touche d’humour. Clin d’oeil réussi, il réussit à faire rire et applaudir son public, comme le ferait un humoriste lors d’un spectacle. Mais il arrive aussi à expliquer les caractéristiques techniques de son produit sans perdre l’attention de son public. Construire une relation avec son auditoire, un moment capital Lorsque vous serez amené(e) à parler, n’hésitez pas à travailler votre langage corporel, qui a un impact essentiel sur la relation que vous allez tisser avec les personnes qui sont présentes pour vous écouter. Si vous regardez chaque personne de votre auditoire, elles se sentiront incluses dans votre discours, et vous écouteront. A l’inverse, si vous ne restez fixé que sur un point, et pire, sans regarder personne, votre discours tend à perdre toute la teneur et la portée que vous souhaitez lui donner. Un très bon exercice est de s’exprimer face à un groupe de personnes, face à soi. Dès que les yeux de la personne qui parle se posent sur un membre du public, ce dernier s’assoit. L’objectif est qu’à la fin du discours, toutes les personnes soient assises. Au niveau du langage pur, il y a certains mots qu’il faut éviter d’employer : tous les termes négatifs, ou qui pourraient faire baisser votre crédibilité. Pensez positif ! En somme, tout est une question de self control. Enfin, lorsque vous préparez ce discours, ou cet oral, entraînez-vous et respirez ! L’entraînement vous permet de gagner confiance en vous, car plus vous allez parler, plus vous serez à l’aise sur le sujet, et sur la structure de vos paroles. Vous pouvez vous entraîner face à un miroir pour travailler votre gestuelle, et vous expressions corporelles. Vous verrez ainsi quelle image vous renverrez aux personnes qui vous écouteront. Maintenant que vous avez toutes les clés pour gérer au mieux votre allocution, il ne vous reste plus qu’à les mettre en pratique. Vous pouvez aussi vous entraîner face à vos proches pour gagner en confiance et recevoir des conseils extérieurs indispensables pour améliorer votre discours et l’impact que ce dernier aura sur votre public ! SOURCES : http://wording-factory.com/les-8-secrets-des-plus-grands-orateurs/ https://www.humaindigital.com/barrack-obama-orateur-ideal/ Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux
Boostez vos Connaissances en Autonomie
Comment booster ses connaissances en autonomie en 4 étapes ? Il y a 5 ans, vous ne rentriez pas de vos soirées en Uber, vous ne partiez pas en vacances avec AirBnb et vous ne passiez pas vos soirées devant Netflix. En 5 ans, les inventions et les progrès technologiques se sont accélérés et notre société s’est lentement transformée pour se diriger vers une ère plus collaborative. Ce qui est certain est que notre avenir est incertain, et le changement permanent. C’est pour ces raisons qu’il est essentiel aujourd’hui de se tenir au courant de ce qu’il se passe autour de soi et autour du monde, d’autant plus dans le domaine du digital ! Ce que vous avez appris il y a 6 mois de cela n’est peut-être plus valable aujourd’hui. Alors comment booster vos connaissances en autonomie ? 1. Lisez La lecture est bénéfique à tout point de vue : pour votre santé physique, morale, et pour approfondir vos connaissances. Les livres étaient et sont toujours des trésors d’informations en tout genre. Leadership, Développement Personnel, Référencement, Graphisme… Les ressources ne manquent pas. Et si vous avez la chance de comprendre l’anglais, ne vous limitez pas aux ouvrages Français ! Si la plupart des sujets sont immuables, n’oubliez pas que le digital évolue rapidement : fiez-vous plutôt aux derniers ouvrages en date du genre. On dit qu’un leader lit en moyenne 2 livres par mois (Mark Zuckerberg le fait pour n’en citer qu’un 😉 ). Mais la lecture ne s’arrête pas aux livres papiers. Il existe d’autres alternatives aux quelles on ne pense pas forcément, comme les livres audio. « Je n’ai pas le temps ni l’argent pour lire autant !» ne sera plus une excuse. Les livres audio sont plus accessibles en terme de prix et de timing. Vous pouvez par exemple profiter de votre trajet pour aller au boulot – en voiture ou dans les transports – pour apprendre à petites doses. 2. Assistez Quand je dis assister, je parle d’assister à des cours, des formations ou des conférences tenues par de véritables experts dans leur domaine. Avec la lecture, vous stimulez votre intelligence visuelle. En conférence, ce sont tous vos sens qui sont impliqués dans votre apprentissage. Renseignez-vous sur ce qu’il se passe près de chez vous : Le site Eventbrite (https://www.eventbrite.fr/) vous permet de trouver et vous inscrire à des évènements en tout genre comme des cours, ateliers, réunions, etc… Les CCI (http://www.cci.fr/) les plus proches de chez vous organisent régulièrement des conférences ou séances d’informations sur de nombreux sujets, dont le numérique. Et le plus souvent, elles sont gratuites. Et si vous ne souhaitez pas vous déplacer, vous pouvez avoir recours aux sites de cours en ligne comme Skillshare (https://www.skillshare.com/ – anglais seulement) ou Openclassrooms. Openclassrooms (https://openclassrooms.com/) propose même des parcours 100% en ligne qui sont – cerise sur le gâteau – diplômants. De nombreux sujets sont couverts en ligne. 3. Échangez Peu importe votre métier ou votre formation, il est toujours intéressant d’échanger avec des personnes qui occupent des postes similaires au vôtre ou dans le même domaine. Chaque personne a ses petits secrets, ses petites astuces et en échangeant, vous vous donnez les moyens d’apprendre « plus que de la théorie ». Entre la théorie et la pratique, il y a parfois un gouffre. Et toutes les personnes qui sont sur le terrain ont bien pu le constater. Les bonnes astuces de confrères sont parfois plus précieuses qu’une semaine entière de formation. Et puis, le networking vous permettra aussi de tisser des liens qui serviront votre business voire votre carrière. On dit que voyager ouvre l’esprit, mais les rencontres l’enrichissent aussi. Pour échanger entre professionnels, vous avez le choix. Vous pouvez vous créer un profil sur LinkedIn et profiter de ce réseau pour bâtir votre propre cercle de relations et échanger avec les professionnels qui vous intéressent. L’abonnement premium peut se révéler être un investissement très rentable. Twitter est aussi un réseau inclin aux échanges professionnels. Vous pouvez aussi Adhérer aux associations spécialisées. Il existe de nombreuses associations pour les professionnels qui pourront vous aider à construire votre cercle professionnel. Le BNI, la JCEF (pour les jeunes entre 18 et 40 ans), l’APM, les CJD n’en sont que quelques exemples. Renseignez-vous autour de vous et trouvez l’association qui correspond le plus à vos valeurs et à vos objectifs. 4. Veillez Rien ne vaut la veille… Personnellement, je consacre au moins une matinée entière par semaine à ma veille. Et par veille je ne parle pas seulement de veille concurrentielle. Le monde bouge vite, et se tenir au courant régulièrement de ce qu’il se passe autour de soi est primordial pour enrichir ses connaissances et parfois prendre une longueur d’avance sur la concurrence. En veillant, vous devenez pro-actif et vous vous enrichissez rapidement. Pour veiller, vous pouvez : Vous abonner aux newsletters de blogs et journaux spécialisés. Les newsletters vous donnent un aperçu rapide des nouvelles tendances, vous n’avez plus qu’à choisir de lire ou non les articles les plus intéressants. Dans le digital et l’entrepreneuriat, Le Blog du Modérateur, Frenchweb et Maddyness sont des ressources très intéressantes à suivre. Regardez ce que font vos concurrents et les grandes tendances du marché (études publiées, etc…). Pinterest se révèle être un trésor d’informations encore trop méconnu. Pourtant, de nombreuses infographies y sont postées, et ce, sur tous les sujets (marketing, psychologie, santé, cuisine, etc…). C’est vraiment pratique et vous apprenez tout ce qu’il faut en un seul coup d’oeil. Scrutez les réseaux sociaux ! LinkedIn, Pinterest, Twitter… Vous y trouverez énormément de profils et d’influenceurs et autres leaders intéressants à suivre. Les réseaux sont certes une distraction mais ils peuvent apporter énormément en terme d’apprentissage et de renseignement. Pour résumer, si vous souhaitez booster vos connaissances en autonomie, respectez ces 4 étapes : Lire, Assister, Échanger et Veiller. Avec une bonne organisation, vous trouverez toujours un peu de temps libre pour apprendre. Il suffit simplement d’en avoir l’envie et de bien se planifier ses « moments » d’apprentissage. Bravo ! Vous êtes arrivés au bout de cet article. Comme
Le Growth Hacking dans la stratégie de marketing digital
Le Growth Hacking, qu’est-ce que c’est ? Le terme “growth hacking” est souvent bien mal compris, et les informations trouvées sur internet sont généralement plus ou moins correctes. En quoi consiste-t-il ? Est-ce le futur des produits internet ? Pour y voir un peu plus clair… L’expression “Growth Hacking” a été inventée par Sean Ellis en 2010, bien que le concept existe depuis plus longtemps. Sean Ellis expliquait sa frustration, lorsqu’il était embauché : Sean a aidé un certain nombre de start-up, entreprises, sociétés Internet à atteindre une croissance incroyable, et quelques-unes d’entre elles ont même eu une introduction en bourse. Il a mis en place des systèmes, processus et mentalités afin de développer la croissance des entreprises. Ces techniques étaient destinées à rester après son départ ; alors il remettait les clés à un autre marketeur. C’est là que les problèmes ont commencé. Sean demandait des spécialistes du marketing, mais ces marketeurs n’étaient pas qualifiés pour cette nouvelle stratégie. Alors sur son blog, il a changé son titre et a remplacé par « Trouvez un Growth Hacker pour votre start-up ». Et l’idée est née. Cet accent absolu sur la croissance a donné naissance à un certain nombre de méthodes, d’outils et de pratiques, qui n’existaient tout simplement pas dans le répertoire marketing traditionnel et, au fil du temps, l’abîme entre les deux disciplines s’est approfondi. Le Growth Hacker, qui est-il ? Les “growth hackers”, utilisant leur connaissance du produit et de la distribution, trouvent des voies de croissance ingénieuses, basées sur la technologie, qui repoussent parfois les limites de ce qui est attendu, conseillé ou même légal. Chaque décision prise par un Growth Hacker est influencée par la croissance. Chaque stratégie, chaque tactique et chaque initiative est tentée dans l’espoir de faire croître l’entreprise. Bien sûr, les commerçants traditionnels se soucient également de la croissance, mais pas dans la même mesure. Rappelez-vous, le pouvoir d’un Growth Hacker réside dans son obsession pour parvenir à cet objectif. L’un des aspects fondamentaux de tout Growth Hacker, quel que soit son origine, est son amour, sa dépendance et sa compréhension de l’analyse.Un Growth Hacker n’est pas meilleur qu’un marketeur. Pour utiliser la définition la plus succincte de l’article de Sean Ellis, « Un Growth Hacker est une personne dont le vrai nord est la croissance ». Processus du Growth Hacking Avant de plonger dans les tactiques spécifiques qu’un Growth Hacker utilise, il est utile d’aborder les quelques étapes qui lui traversent l’esprit, lorsqu’il développe une entreprise. Définir des objectifs réalisables. Mettre en oeuvre des analyses pour suivre les objectifs fixés. Tirer parti des forces existantes. Exécuter l’expérience. Optimiser l’expérience. Obtenir du trafic Ne vous concentrez pas uniquement sur le trafic. C’est important, mais ce n’est pas tout. Il y a trois façons d’obtenir du trafic sur votre site : Tirer – Vous les incitez à venir à vous. Push (pousser) – Vous les forcez à venir vers vous. Produit – Vous utilisez votre produit pour qu’ils viennent. Quelques exemples de méthodes “tir” pour générer du trafic : SEO Concours Webinaires Une méthode “push” implique généralement d’interrompre le contenu qui est consommé, et elles coûtent généralement de l’argent. Vous devez comprendre la valeur des clients ; il ne faut pas dépenser plus d’argent sur un client que nécessaire. Voici quatre exemples de tactiques “push” : Acheter des annonces Promo Échange Affiliés Les ventes directes Méthode AARRR AARRR est un acronyme, utilisé pour illustrer les cinq étapes du Growth Hacking, ou du développement d’une start-up. Acquisition Activation Rétention Référence Revenus Comment les utilisateurs nous trouvent ? ↓ Premiers pas pour se faire connaître ↓ Réseaux sociaux Première impression véhiculée par le produit/service : positive ou non ? ↓ Faire bonne impression Est-ce que les utilisateurs reviennent ? Est-ce que les utilisateurs parlent de nous ? ↓ Bouche-à-oreille Comment se faire de l’argent ? ↓ Transformer les utilisateurs en chiffre d’affaires Sources : https://www.lafabriquedunet.fr/blog/comprendre-growth-hacking-5-minutes/ https://www.definitions-marketing.com/definition/growth-hacking/
Préparer son départ pour Singapour…
Dès Janvier, les étudiants en 4ème année à l’ESCEN partent pour deux mois à Singapour. La parfaite occasion pour eux de renforcer leur expertise en stratégie internationale. Pour les plus stressés à l’idée de quitter notre cher pays, pas de panique, voici quelques petits conseils pour survivre à votre aventure à Singapour ! Reprenons pour ceux qui n’auraient pas suivi les cours de géographie à l’école : Singapour est une île d’Asie du Sud située à la pointe Sud de la Malaisie et à l’est de l’île indonésienne de Sumatra. Cette ville-Etat compte plus de 4 millions et demi d’habitants et présente surtout une grande diversité ethnique et culturelle, et un dynamisme étonnant. Le climat Ce petit archipel bénéficie d’un climat tropical, chaud et humide et de températures oscillant entre 20 et 30°c toute l’année. Cependant, si durant les mois de Janvier et Février les fortes chaleurs ne sont pas trop présentes, c’est en revanche la période des moussons ! Pas de panique, les averses ne durent que quelques minutes avant que le soleil ne revienne. Alors n’oubliez pas les accessoires indispensables de tout bon Singapourien…. Le parapluie et le maillot de bain ! Se loger Pour cette destination encore, pensez à la colocation ! Car oui, se loger à Singapour coûte cher, mais pas de panique il est tout à fait possible de trouver un logement adapté à votre budget et à la durée de votre séjour. Tournez-vous plus particulièrement vers les long-term Serviced Apartments. Ce sont des appartements entièrement meublés prêt à être habités, dans des résidences toutes équipées , avec un budget raisonnable, et accessibles même sans connaître la durée exacte de votre séjour, ce qui vous donne la possibilité d’allonger ou de raccourcir votre contrat. Attention, il faut tout de même prévenir un mois avant votre départ. Les étrangers se logent en général dans des condominiums. Ce sont des résidences équipées de piscines, jacuzzis, salles de sport, jardins, BBQ.. On peut trouver tous types d’appartements dans les condos : studio, lofts, 1, 2, 3, 4 bedrooms apartments. L’autre option est le HDB. Beaucoup moins luxueux qu’un condominium le HDB offre essentiellement de grands appartements du type 3 bedrooms , mais sont amplement suffisant si vous ne souhaitez pas utiliser de piscines, jacuzzis etc. Sachez que l’on trouve des condos dans tous les quartiers de Singapour, alors que les HDB se trouvent seulement dans certains quartiers, dans des « HDB Estates ». Côté budget, il faut compter en moyenne, environ 800-1800 SGD pour une chambre dans une colocation dans un condo. Attention, les locations de moins de 6 mois via AirBNB sont considérées comme illégales à Singapour ! Voici quelques liens qui pourraient vous être utiles : Easy roomate Singapour Century21 Singapour 9 Flats La gastronomie Où manger ? Que manger ? Autant de questions que se posent les plus gastronomes (ou gourmands…) d’entre vous ! Et bien sachez que toutes les nationalités présentent à Singapour contribuent à faire de cet archipel un haut lieu gastronomique. Vous pourrez sans souci trouver de la cuisine malaise (du peuple Malais), indienne, indonésienne, chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, française (eh oui !), italienne, anglaise, mexicaine… Il existe cependant certaines spécialités phares, qui, si elles n’ont pas été créées à Singapour même, font office de plats nationaux, et que vous devez goûter au moins une fois durant votre séjour. Le chicken rice Une spécialité de l’île de Hainan au sud de la Chine, d’ailleurs si vous souhaitez en commander à Singapour, le nom complet de ce mets traditionnel est “ Hainanese Chicken Rice”. Le plat se compose de poulet cuit à la vapeur accompagné de riz cuit dans le jus, et servi avec des sauces aux piments, au gingembre et au soja. En dehors du fait d’être délicieux, il présente aussi l’avantage d’être très accessible aux Européens, car il n’est ni trop épicé, ni trop étonnant ! Le Fish head curry Ce plat originaire du sud de l’inde est un peu plus surprenant que le chicken rice, mais tout aussi bon lorsqu’il est bien cuisiné. Le plat se compose d’une tête de poisson, en général du rouget, du mérou ou de la lotte, accompagné d’une sauce au curry très épicée. Le chili crab et black pepper crab Le chili crab est comme son nom l’indique du crabe cuit dans une sauce épicée ou au poivre que l’on mange avec les doigts. Certains restaurants le vendent parfois très cher ! Le Carrot cake (chai tow kueh) Attention, celui-ci n’a rien à voir avec le carrot cake que l’on peut manger en occident. Cette recette consiste à faire frire des cubes de farines de riz et de radis blanc dans une omelette avec quelques oignons. Une version avec de la mélasse existe aussi. Les fruits Singapour regorge de fruits qui nous sont totalement, ou presque, inconnus ! Laissez vous par exemple tenter par le durian, presque aussi gros qu’un ballon de foot, recouvert de piques et très reconnaissable grâce à son odeur ! Il est d’ailleurs interdit dans certains lieux publics… Rassurez-vous, la chair n’a pas le goût de son odeur ( et heureusement…). En revanche, c’est un fruit assez cher. Vous pouvez également goûter le ramboutan (rouge et rond et dont la saveur rappelle celle du litchi), le mangoustan ( soit disant le meilleur des fruits tropicaux, de la taille d’une petite orange et au gout de framboise), et le fruit du dragon ( rose à l’extérieur et blanc avec de petites graines noires à l’extérieur). Vous pourrez trouver tous ces fruits dans les échoppes des Hawkers et Food courts, coupés en rondelles ou en brochettes, en smoothies, en jus… Boissons Au vu de la météo, mieux vaut fuir les sodas ! Pour vous désaltérer, préférez les jus de fruits frais, et les smoothies que vous pourrez trouver dans un Food court, à des prix peu élevés. L’alcool en revanche, est assez cher. Pour les amateurs de bière, goûtez à la tiger Beer et à la ABC, une bière brune
Visiter Toronto : les meilleures infos pour préparer son voyage
Vous allez visiter Toronto mais vous vous demandez comment vous organiser ? Pas d’inquiétude, voici nos meilleures infos pour préparer votre visite à Toronto à tête reposée. Visiter Toronto, c’est visiter la plus américaine des villes canadiennes, avec ses nombreux gratte-ciels. Et contrairement à Montréal, Toronto est une ville anglophone. Plus grande ville du Canada, elle dispose d’une économie performante qui lui vaut la 3e place dans le top 5 du classement PWC des villes à opportunités. Plus de 60 incubateurs de startups sont présentes dans la ville et proposent un support conséquent, comme l’incubateur DMZ qui rassemble 75 startups. En 2014, Toronto a remporté le Intelligent Community Award, titre de communauté la plus dynamique et inspirante en matière de ville intelligente délivré par le ICF, un organisme qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Ce qui en fait une destination de choix pour les acteurs de l’économie numérique. C’est pourquoi, chaque année, les étudiants en 3ème année de Bachelor Webmarketing à l’ESCEN partent s’immerger pendant 2 mois à Toronto. Prendre son billet d’avion pour visiter Toronto Vol Paris Toronto Le prix moyen du billet de Paris à Toronto s’élève à 576 € selon le site algofly.fr. Le site indique qu’un prix exceptionnel s’élève à 372 € et qu’un bon prix se situera autour des 436€. Quand réserver son billet pour Toronto ? Selon le site algofly.fr, si vous voulez acheter un billet Paris Toronto pas cher, il faut éviter de prévoir son voyage en janvier, en juillet, en août ou en décembre. Le site ou-et-quand.net préconise d’acheter le billet environ 10 mois à l’avance pour avoir un billet pas cher. Comment obtenir le meilleur prix ? Prenez un vol avec une escale, partez un samedi et revenez un lundi. (source : ou-et-quand.net) Les prix à Toronto Au Canada, les prix affichés n’incluent pas les taxes (tout comme les Etats-Unis). Vous devrez à chaque fois additionner une taxe au prix affiché pour calculer le prix TTC à payer. Une Taxe fédérale sur les Produits et Services (TPS) de 5% est applicable sur toutes les transactions au Canada, à l’exception de la nourriture de base. À cela, il faudra ajouter une taxe de vente provinciale qui s’élève à 8% pour l’Ontario. Vous devrez donc ajouter 13% de taxes en plus du prix affiché pour calculer le prix à payer. Par exemple, si vous achetez un produit affiché à 10 €, en réalité vous payerez 11,30 € (10 x 1,13 = 11,30). De plus, lorsque vous mangerez au restaurant, vous devrez rajouter un pourboire d’environ 15% au prix. En effet, au Canada, il est de coutume d’offrir un pourboire dans les restaurants, les bars et les taxis. Ce qui fait que vous payeriez 12,80 € votre repas affiché à 10 € avec une taxe et un pourboire cumulé de 28% (taxe de 13% + pourboire de 15%). Vous pouvez laisser le pourboire sur la table ou le remettre directement à votre serveur. Prévoyez votre logement avant de visiter Toronto Comme dans notre article sur Montréal, pour le logement, nous préconisons les sites internet tels que Kijiji, Craigslist encore AirBnB. Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le loyer moyen à Toronto pour un studio s’élève en moyenne à 685 € par mois. Prévoyez 137 € de plus pour un 2 pièces. Cependant, ces prix varient à partir du moment où vous vous éloignez du centre-ville. Comptez 739 € pour un studio au centre de la ville contre 616 € en moyenne aux extrémités de la ville comme à l’ouest de Bathurst ou à l’est de Bayview Avenue. Voici une carte avec les loyers moyens référencés en 2016. Notez que ces prix sont des moyennes, vous pouvez trouver des logements en centre-ville moins cher si vous vous y prenez assez tôt avant le voyage à Toronto. Que faire à Toronto ? Certaines activités à Toronto sont incontournables s’il s’agit de votre première visite. Du haut de ses 555 mètres, la CN Tower dans le centre-ville vous donnera une vue splendide sur toute la ville. Malgré des tarifs un peu élevés, la CN Tower vous donne accès à plusieurs attractions à vous couper le souffle. Pour vous détendre, vous pourrez prendre le ferry qui vous emmènera sur les îles de Toronto en 10mn. Plusieurs attractions vous attendent sur ces îles, comme un labyrinthe qui testera votre vivacité d’esprit. Pour les aquariophiles, l’aquarium Ripley du Canada vous permet d’explorer la vie dans un récif abritant 16 000 animaux marins pour environ 20 €. Les fans de street art pourront visiter le Graffiti Alley située dans le Fashion District au sud de Chinatown. Véritable galerie éphémère en plein air, Graffiti Alley dispose de plus de 1000 graffitis que des Street artists ont pu créer en toute légalité. Les basketteurs iront sans doute voire un match des Raptors, l’équipe de basket de Toronto. Le billet le moins cher vous coûtera environ 27 €. Ce prix peut très vite monter en fonction des places se rapprochant du terrain. Toronto : Chute du Niagara Toronto se trouvant dans l’Ontario, comment ne pas évoquer les célèbres chutes du Niagara ? Considérés comme la huitième merveille du monde, la question de votre visite ou non ne se pose même pas. Le plus simple est de prendre un bus Greyhound qui fait l’aller-retour entre Toronto et les chutes pour une vingtaine d’euros, pour un trajet d’environ 1h40. Les transports pour visiter Toronto Pour visiter Toronto, nous préconisions les transports en commun, qui restent une valeur sûre et permet de se déplacer à faible coût. À Toronto, les transports en commun sont gérés par la TTC. Non, pas toute taxe comprise mais la Toronto Transit Commission. L’organisme dispose d’une application sur Android et sur iPhone pour accéder aux informations en direct. Néanmoins, nous ne cesserons pas de préconiser l’application Citymapper qui est aujourd’hui un incontournable pour emprunter les transports en commun dans les grandes villes du monde sans prise de tête. Votre premier trajet aura lieu entre l’aéroport et la ville : il
Visite d’entreprise : à la découverte du service publicité du Progrès

À l’occasion des 20 ans du site internet du Progrès, les étudiants de 2ème année de Bachelor Webmarketing du campus de Lyon ont eu l’opportunité de visiter les locaux de ce journal régional et de rencontrer ses équipes du service publicité. Pour rappel, Le Progrès c’est plus de 800 collaborateurs, 1,5 millions de lecteurs avec 30 millions de pages web vues par mois et 300 000 exemplaires tirés chaque nuit. L’objet de cette visite était la découverte du système de diffusion des publicités, dans le journal ou sur le web. Ils ont pu rencontrer les commerciaux en charge de la définition du besoin client, puis le service pré-presse studio qui transforme ce besoin en maquette et qui permet au client de choisir le format et le design de la publicité. Ensuite, ils ont rencontré le service trafic qui est chargé de s’assurer de la conformité du format de la publicité et de transférer ces demandes au support papier avant l’impression du journal (soit avant 16h). Les étudiants ont également pu découvrir le système de tarification qui varie en fonction de différents critères tels que le jour de parution, la géolocalisation ou la taille de la publicité. Concernant la publicité en ligne, le processus est similaire. Le service pré-presse est remplacé par un studio de graphistes web qui créent les publicités avec Adobe Photoshop et Adobe Animate. Les animations se font en HTML5 et Javascript afin de ne pas alourdir la page et de conserver une qualité de navigation optimale. L’upload des publicités se fait de manière simple grâce au CMS interne du journal. Une belle illustration concrète de ce que les étudiants apprennent chaque jour dans l’école du web business. Merci aux équipes du Progrès qui ont su faire preuve de pédagogie pour expliquer leurs métiers et merci à M. Reydellet, notre professeur de Marketing à l’ESCEN, qui a rendu possible cette visite. L’ESCEN offre des formations en webmarketing allant du Bachelor au MBA, en passant par la Formation Professionnelle. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à télécharger notre brochure.
24h de l’orientation communication et marketing
LE 19 MARS 2016, L’ESCEN PARTICIPE AU 24H DE L’ORIENTATION COMMUNICATION ET MARKETING Les « 24 heures de l’Orientation » à Paris, Bordeaux, Lyon par Digischool Il s’agit d’un un événement personnalisé pour des rencontres optimales entre les étudiants, leurs parents, et une sélection d’écoles spécialisées sur la thématique. L’ESCEN participe à cet événement car il propose des échanges de qualité avec les étudiants en recherche d’un enseignement spécialisé dans la communication et le marketing. Les spécificités du Salon 24h de l’orientation Digischool qui ont séduit l’ESCEN : 1 thématique une sélection d’écoles des rencontres one to one planifiées des master class pour découvrir son futur métier des séances de coaching Les avantages pour les étudiants : des rencontres qualifiées des réponses concrètes aux questions sur les cursus pédagogiques et l’employabilité un véritable gain de temps (prise de RDV en amont pour éviter l’attente) LE + : l’ événement est en livestreaming Vous ne pouvez pas vous rendre sur le salon ? Pas de problème, le salon vient à vous… En effet, vous pouvez vivre les 24 heures de l’Orientation en live par le biais de conférences retransmises en streaming et de corners écoles géolocalisés. Retrouvez nous le samedi 19 mars 2016 à : Paris, à l’Eurosite George V situé 28 av George V Lyon, dans les locaux de TLM situés 227 cours Lafayette Bordeaux, au Palais de la Bourse situé 17 Place de la Bourse Pour vous inscrire : 24h.orientation.com
Portrait alternance : Campaign Manager chez UPFLUENCE
Morgane, étudiante en M1 Webmarketing à l’ESCEN, est Campaign Manager en alternance chez Upfluence, entreprise technologique axée sur le Content et le Native marketing. Cette jeune entreprise lyonnaise composée de 25 personnes, préalablement incubée à San Francisco, développe un logiciel qui permet d’identifier, d’entrer en contact (par le biais de ses algorithmes propriétaires) et d’analyser plus de 5 millions d’influenceurs sur des plateformes sociales telles que Facebook, Twitter ou Instagram mais également au travers d’une large communauté de bloggeurs dans toutes les langues et dans tous les pays. Morgane y occupe le poste de Web Campaign Manager et a pour mission : – la gestion et suivi de campagne webmarketing – la création et la diffusion de contenus web (newsletter, social nuggets, articles) – le reporting de statistiques – le sourcing L’alternance pour une meilleure insertion professionnelle Pour Morgane, « la voie de l’alternance proposée par l’ESCEN, et favorisée par la notoriété de l’école auprès des professionnels, permet un accès plus aisé au monde du travail ». Une école tournée vers l’entreprise Morgane est aussi satisfaite des mises en situation pratiques réelles organisées par l’école en place tout au long de l’année, comme les Digital Business Hackathon, permettent aux étudiants de se familiariser aux problématiques concrètes de l’entreprise. Focus Métier Le Campaign Manager est au centre du dispositif Webmarketing. Il a pour misison de suivre et analyser les campagnes publicitaires des annonceurs et proposer des pistes de réflexion pour optimiser les campagnes. Photo récupérée sur site Upfluence de Morgane
Digital Business Hackathon : INSTANT CHEF
Instant Chef est une épicerie fine en ligne à destination des amateurs et professionnels de cuisine à la recherche de produits de qualité et de renom. L’objectif du site e-commerce lancé à l’automne 2015 est de proposer une large gamme de produits d’excellence permettant à chaque client d’exprimer le Chef qui est en lui ! Le tout, en assurant une livraison rapide à domicile et un service client de qualité. Outre une stratégie webmarketing classique avec un référencement payant, la marque Instant Chef souhaite développer une stratégie éditoriale et relationnelle. Créer une véritable communauté de passionnés est un de ses enjeux prioritaires. À ce titre, un blog été mis en place pour partager des recettes et des rencontres avec les chefs référents. Matthieu Delacour, fondateur d’Instant Chef, a pour cela fait appel aux étudiants de l’ESCEN dans le cadre d’un Digital Business Hackathon. Leur mission : Proposer une stratégie concrète et efficace, en cohérence avec les objectifs et contraintes de la marque. Pour ce challenge organisé sur 1 semaine, 5 équipes ont travaillé sur la stratégie webmarketing et communautaire de la marque Instant Chef. *** INSTANT CHEF : CHALLENGE REUSSI POUR LES ESCENIENS ! Les différentes équipes participantes ont impressionné ce jeune chef d’entreprise en apportant de réelles solutions en adéquation avec ses attentes. Il lui a été agréable de constater la pertinence des choix média, le respect des contraintes, notamment budgétaires, et plus globalement, la gestion du projet répondant efficacement à la problématique d’Instant Chef. Les propositions des étudiants étaient complémentaires et créatives. C’est donc tout naturellement que Matthieu Delacour souhaite s’inspirer des différentes idées proposées pour mettre en place une stratégie globale de sa marque Instant Chef. Matthieu Delacour a exprimé sa satisfaction à l’égard des propositions créatives et complémentaires des étudiants. Il souhaite d’ores et déjà mettre en place certaines des propositions pour améliorer la stratégie webmarketing et communautaire d’Instant Chef.
Se former au web, une véritable opportunité d’avenir !
L’ère du numérique, c’est maintenant ! Le digital est devenu notre quotidien. Nos outils et moyens de communication (smartphones, tablettes, snapchat, email, réseaux sociaux …), nos usages de tous les jours (réservations vtc et restos, shopping en ligne, …), nos accessoires connectés (montre, télécommande, réveil, cosmétique…) en sont autant de preuves. De manière plus générale, le numérique a transformé l’économie et ses modèles. Tous les secteurs d’activités sont concernés (santé, tourisme, automobile, grande distribution, industrie textile, aéronautique …) et tous les types d’entreprises (TPE, PME , grandes entreprises) ou organisations (associations, ONG, administrations…). Ces nouveaux modèles et nouveaux usages appellent de nouvelles compétences et créent de nouveaux métiers. Le cabinet McKinsey a récemment publié une étude dans laquelle il évalue à 100 milliards d’euros d’ici à 2020 l’enjeu de la croissance supplémentaire si la France s’alignait sur les performances des pays les plus avancés en la matière, soit un bond de plus de 5 % du PIB. De ce fait, il est clair que le numérique constitue un fort levier de croissance et de compétitivité que les entreprises françaises ne manqueront pas d’activer. Dans un tel contexte, l’employabilité du secteur numérique se veut très importante. Si les start-up sont souvent citées comme premier exemple des recruteurs du numérique, les PME et les grandes entreprises sont également en recherche active de compétences pour faire face aux enjeux de leur mutation digitale. Toutefois, elles rencontrent (Oulfa) des difficultés dans leur recrutement du fait d’un déséquilibre entre l’offre et la demande. Les entreprises sont à la recherche de profils « complets » du numérique, avec des connaissances techniques et stratégiques solides. Elles se tournent aisément vers des écoles du web qui forment des professionnels ayant une vision globale des enjeux et de solides compétences digitales et marketing. Intégrer une école du web Intégrer une école du web c’est avant tout bénéficier d’un enseignement pluridisciplinaire et baigner dans la cutlure web. En effet, les formations du numérique mêlent stratégie et technique, connaissances marketing et compétences digitales. Se former au digital constitue un véritable gage d’employabilité et de satisfaction professionnelle. Le numérique est en constante évolution et les métiers de demain sont encore à inventer. De plus, le numérique est un véritable tremplin pour les entrepreneurs en herbe. L’ESCEN (Ecole supérieure de commerce et d’économie numérique) est une école professionnalisante qui forme des experts du webmarketing. Fortement tournée vers l’international et entretenant des liens étroits avec les acteurs économiques, l’école dispense un enseignement en phase avec les attentes de l’entreprise. Découvrir les formations de l’ESCEN Télécharger la brochure de l’ESCEN S’inscrire à une réunion d’information