Préparer son départ pour Singapour…
Dès Janvier, les étudiants en 4ème année à l’ESCEN partent pour deux mois à Singapour. La parfaite occasion pour eux de renforcer leur expertise en stratégie internationale. Pour les plus stressés à l’idée de quitter notre cher pays, pas de panique, voici quelques petits conseils pour survivre à votre aventure à Singapour ! Reprenons pour ceux qui n’auraient pas suivi les cours de géographie à l’école : Singapour est une île d’Asie du Sud située à la pointe Sud de la Malaisie et à l’est de l’île indonésienne de Sumatra. Cette ville-Etat compte plus de 4 millions et demi d’habitants et présente surtout une grande diversité ethnique et culturelle, et un dynamisme étonnant. Le climat Ce petit archipel bénéficie d’un climat tropical, chaud et humide et de températures oscillant entre 20 et 30°c toute l’année. Cependant, si durant les mois de Janvier et Février les fortes chaleurs ne sont pas trop présentes, c’est en revanche la période des moussons ! Pas de panique, les averses ne durent que quelques minutes avant que le soleil ne revienne. Alors n’oubliez pas les accessoires indispensables de tout bon Singapourien…. Le parapluie et le maillot de bain ! Se loger Pour cette destination encore, pensez à la colocation ! Car oui, se loger à Singapour coûte cher, mais pas de panique il est tout à fait possible de trouver un logement adapté à votre budget et à la durée de votre séjour. Tournez-vous plus particulièrement vers les long-term Serviced Apartments. Ce sont des appartements entièrement meublés prêt à être habités, dans des résidences toutes équipées , avec un budget raisonnable, et accessibles même sans connaître la durée exacte de votre séjour, ce qui vous donne la possibilité d’allonger ou de raccourcir votre contrat. Attention, il faut tout de même prévenir un mois avant votre départ. Les étrangers se logent en général dans des condominiums. Ce sont des résidences équipées de piscines, jacuzzis, salles de sport, jardins, BBQ.. On peut trouver tous types d’appartements dans les condos : studio, lofts, 1, 2, 3, 4 bedrooms apartments. L’autre option est le HDB. Beaucoup moins luxueux qu’un condominium le HDB offre essentiellement de grands appartements du type 3 bedrooms , mais sont amplement suffisant si vous ne souhaitez pas utiliser de piscines, jacuzzis etc. Sachez que l’on trouve des condos dans tous les quartiers de Singapour, alors que les HDB se trouvent seulement dans certains quartiers, dans des « HDB Estates ». Côté budget, il faut compter en moyenne, environ 800-1800 SGD pour une chambre dans une colocation dans un condo. Attention, les locations de moins de 6 mois via AirBNB sont considérées comme illégales à Singapour ! Voici quelques liens qui pourraient vous être utiles : Easy roomate Singapour Century21 Singapour 9 Flats La gastronomie Où manger ? Que manger ? Autant de questions que se posent les plus gastronomes (ou gourmands…) d’entre vous ! Et bien sachez que toutes les nationalités présentent à Singapour contribuent à faire de cet archipel un haut lieu gastronomique. Vous pourrez sans souci trouver de la cuisine malaise (du peuple Malais), indienne, indonésienne, chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, française (eh oui !), italienne, anglaise, mexicaine… Il existe cependant certaines spécialités phares, qui, si elles n’ont pas été créées à Singapour même, font office de plats nationaux, et que vous devez goûter au moins une fois durant votre séjour. Le chicken rice Une spécialité de l’île de Hainan au sud de la Chine, d’ailleurs si vous souhaitez en commander à Singapour, le nom complet de ce mets traditionnel est “ Hainanese Chicken Rice”. Le plat se compose de poulet cuit à la vapeur accompagné de riz cuit dans le jus, et servi avec des sauces aux piments, au gingembre et au soja. En dehors du fait d’être délicieux, il présente aussi l’avantage d’être très accessible aux Européens, car il n’est ni trop épicé, ni trop étonnant ! Le Fish head curry Ce plat originaire du sud de l’inde est un peu plus surprenant que le chicken rice, mais tout aussi bon lorsqu’il est bien cuisiné. Le plat se compose d’une tête de poisson, en général du rouget, du mérou ou de la lotte, accompagné d’une sauce au curry très épicée. Le chili crab et black pepper crab Le chili crab est comme son nom l’indique du crabe cuit dans une sauce épicée ou au poivre que l’on mange avec les doigts. Certains restaurants le vendent parfois très cher ! Le Carrot cake (chai tow kueh) Attention, celui-ci n’a rien à voir avec le carrot cake que l’on peut manger en occident. Cette recette consiste à faire frire des cubes de farines de riz et de radis blanc dans une omelette avec quelques oignons. Une version avec de la mélasse existe aussi. Les fruits Singapour regorge de fruits qui nous sont totalement, ou presque, inconnus ! Laissez vous par exemple tenter par le durian, presque aussi gros qu’un ballon de foot, recouvert de piques et très reconnaissable grâce à son odeur ! Il est d’ailleurs interdit dans certains lieux publics… Rassurez-vous, la chair n’a pas le goût de son odeur ( et heureusement…). En revanche, c’est un fruit assez cher. Vous pouvez également goûter le ramboutan (rouge et rond et dont la saveur rappelle celle du litchi), le mangoustan ( soit disant le meilleur des fruits tropicaux, de la taille d’une petite orange et au gout de framboise), et le fruit du dragon ( rose à l’extérieur et blanc avec de petites graines noires à l’extérieur). Vous pourrez trouver tous ces fruits dans les échoppes des Hawkers et Food courts, coupés en rondelles ou en brochettes, en smoothies, en jus… Boissons Au vu de la météo, mieux vaut fuir les sodas ! Pour vous désaltérer, préférez les jus de fruits frais, et les smoothies que vous pourrez trouver dans un Food court, à des prix peu élevés. L’alcool en revanche, est assez cher. Pour les amateurs de bière, goûtez à la tiger Beer et à la ABC, une bière brune
Alternance, quel contrat choisir et quelles alternatives ?
Bien que l’alternance soit une réelle ouverture vers le monde professionnel, il n’est pas toujours évident de choisir le type de contrat qui nous correspond. Contrat de professionnalisation ou d’apprentissage ? Nous vous proposons ici de comparer les deux. Si vous n’avez pas trouvé d’entreprise et que les refus s’amoncellent, nous vous proposons également quelques alternatives à l’alternance. Les contrats de professionnalisation Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail en alternance qui permet de lier formation pratique dans une entreprise et formation théorique en cours. Destiné aux jeunes de 16 à 25 ans, il prend la forme d’un contrat à durée indéterminée avec une activité de professionnalisation comprise entre 6 et 12 mois et d’un contrat à durée déterminée qui correspond à la période d’action de professionnalisation comprise entre 6 et 12 mois minimum. Il vous permettra d’obtenir une qualification enregistrée au répertoire national des certifications professionnelles et reconnues dans les classifications d’une convention collective nationale de branche ou ouvrant droit à un certificat de qualification professionnelle. Outre le fait de booster votre employabilité, il offre surtout de nombreux débouchés : l’embauche définitive est souvent la suite logique de ce contrat. La rémunération dépend de votre âge et de votre niveau d’étude, mais elle est fixée à 814 euros par mois si vous avez moins de 21 ans et la rémunération maximale est le smic ou 85% du salaire minimum conventionnel. De plus, cette formation est financée par la formation professionnelle grâce à un prélèvement sur la masse salariale des entreprises. Ces dernières peuvent parfois prévoir des rémunérations supérieures aux minimums légaux. Les entreprises sont souvent séduites elles aussi par les contrats de professionnalisation. Les employeurs sont notamment exonérés des cotisations patronales d’assurances sociales et dispensés de l’indemnité de fin de contrat si vous êtes en contrat de professionnalisation en CDD. En plus de ça, la professionnalisation est aussi un gage pour l’entreprise de bénéficier d’un étudiant motivé, et susceptible d’être embauché sur des bases concrètes. Vous serez en effet traiter comme un collaborateur à part entière. Le contrat de professionnalisation vous permettra donc d’acquérir de l’expérience professionnelle et de concilier études et travail. Le contrat d’apprentissage Le contrat d’apprentissage représente le plus ancien et le plus utilisé des contrats en alternance. Il est pris en charge par les régions et est en plein développement dans l’enseignement supérieur. C’est un contrat de travail particulier qui peut être conclu en CDD ou en CDI, dans le dernier cas, et si l’embauche est effective, il n’y a pas de période d’essai à l’issue de la phase d’apprentissage. Il est signé pour une période de un à trois ans mais sa durée peut être prolongée si vous échouez à votre examen. Vous avez la possibilité non négligeable de signer plusieurs contrats d’affilée ce qui vous permettra de bâtir un parcours de formation diplômant et d’acquérir en même temps une véritable expérience professionnelle. En ce qui concerne la rémunération versée par l’employeur, elle est calculée en pourcentage du smic. Elle varie de 25% à 78% selon votre âge et votre année d’exécution du contrat. Grille de salaire en contrat d’apprentissage Moins de 18 ans 18-20 ans 21 ans et plus En 1re année 370 € 606 € 784 € En 2e année 547 € 725 € 902 € En 3e année 784 € 862 € 1 154 € Quelques alternatives à l’alternance… Les stages alternés La convention de stage alterné est peu connue est rarement promue. Pourtant, l’alternance ne se résume pas aux seuls contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Elle permet aux étudiants d’accéder au monde de l’entreprise et de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes. Sous forme de stage de longue durée, les stages alternés vous octroient le droit de conserver votre statut étudiant tout en bénéficiant d’une expérience sur le terrain. Le principe est simple : Comme une alternance classique, vous alternez période de cours et présence en entreprise. En revanche, vous signerez une convention de stage à la place d’un contrat de travail et ne serez donc pas salarié de l’entreprise. Convaincue de l’intérêt pédagogique et professionnel des stages alternés, les écoles supérieures et l’ESCEN notamment mettent en avant ce type de contrat. Pourquoi ? Et bien parce que son organisation est souple, et que les contraintes légales sont peu limitées. Les écoles sont également libres de choisir les modalités d’accompagnement, de financement et de rémunération. Une bonne solution pour vous…. Grâce à ce contrat, vous préservez tous les bénéfices liés à votre statut d’étudiant : accès au crous, au restaurant universitaire, ainsi qu’à la mutuelle étudiante, et votre gratification est obligatoire lorsque votre stage dépasse une durée de deux mois. A noté que le montant horaire est fixé à 15% du plafond horaire de la sécurité sociale (soit 3,6€ de l’heure) ou de la convention de branche, mais que vous pouvez bien évidemment négocier cette gratification avec votre entreprise d’accueil. En cas d’accident, et comme vous cotisez à la sécurité sociale, vous êtes immédiatement pris en charge, et êtes ainsi couvert quelque soit les risques encourus en entreprise ou sur le trajet du travail. Autre point positif non négligeable… Les entreprises ne font en général pas de différence entre un apprenti et un étudiant en stage alterné. Vos missions seront donc tout aussi intéressantes, responsabilisantes et professionnalisantes que si vous étiez en alternance. … Et pour les entreprises Toutes les entreprises ou même associations peuvent accueillir un stagiaire en alternance. Aucune habilitation particulière ne leur est demandée, si ce n’est de prendre en charge les frais de formation (si il y a), la rémunération du stagiaire et/ou ses frais professionnels. En échange, l’entreprise bénéficie du crédit d’impôt formation dans le cadre de ses dépenses liées à l’accueil de l’étudiant ou bien d’une déduction des frais et indemnités de stage sur la taxe professionnelle. Deux autres points à mettre en avant auprès des entreprises : la convention de stage leur permet de pallier un manque d’effectif, et surtout, l’entreprise n’a aucune cotisation sociale à payer si la gratification minimum n’excède
5 choses à savoir avant de partir à Montréal
Avant un départ à l’étranger, il est essentiel de se préparer afin de ne pas être pris au dépourvu. Pour partir à Montréal au Canada, voici 5 choses qu’un étudiant doit savoir afin de bien préparer son voyage en toute sérénité. 1 – Pour se loger à Montréal, la coloc, c’est le top : Se loger pas cher au Canada, si on s’y prend tôt et à plusieurs, c’est facile ! Privilégiez les sites internet comme Kijiji, Craigslist ou encore Airbnb où l’on trouve de grands logements qu’il est possible de louer avec des amis avant de partir à Montréal. Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le loyer moyen à Montréal pour un studio s’élève en moyenne à 485 € par mois en 2016. Ce prix peut varier selon que vous soyez proche ou éloigné du centre-ville. Pour les petits budgets, les quartiers à privilégier seront au nord-est de l’île (toute la pointe Est, Mercier, Montréal-Nord, ou encore Saint-Michel, Parc-Extension). Pour vous, nous avons déniché une carte interactive avec le prix moyen des loyers en fonction du quartier et du type de logement (idéal si on veut se renseigner avant de partir à Montréal) : Enfin, une des solutions les moins cher consiste à trouver une chambre directement chez l’habitant. Pour cela, vous pouvez passer par un site comme Chambre à louer. Cependant, faîtes attention aux conditions imposées par le propriétaire. Soyez transparent dès le début pour que votre séjour se passe sans problèmes. 2 – Les transport en commun restent pratiques et abordables : C’est la société STM qui gère tout ce qui est transport à Montréal avec 4 lignes de métro qui couvrent toute la ville. Les tarifs sont très raisonnables sachant que les bus sont également compris dans le forfait. Comptez 42,90 € pour un forfait mensuel pour un étudiant (sous présentation d’une attestation de scolarité) et 3,15 € pour un billet à l’unité. Et petit avantage, il y a le wifi dans certains bus, pratique non ? Plusieurs applications vous facilitent désormais la vie à l’étranger dont Citymapper, devenue indispensable de nos jours. En effet, celle-ci permet d’emprunter les transports en communs dans toutes les plus grandes villes du monde sans prise de tête. Citymapper est disponible sur desktop et sur mobile. Téléchargez l’app avant de partir à Montréal pour être sûr de bien vous orienter dès l’arrivée. Si vous avez peur de vous perdre dans la ville, sachez que Google Maps vous permet de télécharger un plan hors-connexion pour une centaine de Mo stockés sur votre téléphone. Vous pouvez faire la manipulation suivante avant votre voyage ou dès que vous avez accès à un réseau wifi. Rendez-vous sur Google Maps, cliquez sur « Plans hors connexion » puis « Sélectionner votre propre plan » pour choisir la carte à télécharger. Vous pourrez ainsi vous orienter si jamais vous vous éloignez trop de votre itinéraire. 3 – Le prix de la nourriture reste dans la moyenne des grandes villes canadiennes : A Montréal, les supermarchés pour faire vos courses ne manqueront pas. Cependant, les fruits, les légumes ainsi que la viande y restent un peu cher. Nous vous recommandons d’aller dans les marchés tels que le marché Jean Talon ou le marché Atwater. Le must serait d’aller à Costco, le deuxième plus grand distributeur mondial derrière Walmart, qui affiche des prix bas très intéressants. En ce qui concerne les restaurants, comptez en moyenne 12,60 € pour un repas. Pour votre budget nourriture, vous pourrez vous en sortir largement avec 170 € par mois en comptant les courses ainsi que les sorties au restaurant et aux bars. Un conseil : préparez votre liste de course bien à l’avance avant de partir à Montréal. 4 – Forfait téléphone à Montréal ? N’y comptez pas : Le Canada est l’un des pays où les forfaits téléphoniques sont les plus élevés du monde. 41,20 € par mois pour avoir les 50 minutes d’appels et 3 go de données mobiles. Autant vous dire qu’entre le wifi à l’école, dans la plupart des bars/restaurants ainsi que chez vous, prendre un forfait ne vaut pas le coût. Montréal dispose d’un grand nombre de spots wifi gratuits : le internet zap.coop les référence. Notre conseil : consultez le site zap.coop avant de partir à Montréal et notez les quelques spots de wifi gratuits qui sont facilement accessibles pour vous. 5 – Organisez de votre temps libre avant de partir à Montréal : Lorsque vous serez à Montréal, les activités pour occuper votre temps libre ainsi que vos weekends ne manqueront pas. Vous pourrez vous rendre en centre-ville pour visiter les musées et les galeries souterraines. Les musées sont en général gratuits ou à moitié prix le mercredi soir pour les expos temporaires. Ensuite, 250 espèces différentes d’animaux répartis sur cinq écosystèmes attendent impatiemment votre visite au Biodôme. Cette visite ne vous coûtera que 12,40 € sur présentation de votre carte étudiante. Pensez à la prendre avec vous avant de partir à Montréal car elle vous donnera peut-être accès à quelques avantages non négligeables. Si vous êtes un fan de cinéma, le Dollar Cinema situé à Namur permet de voir des films pour 2,10 € uniquement avec les confiseries à 0,84 €. Vous n’aurez peut-être pas accès aux dernières sorties, mais les films affichés au Dollar Cinema sont des films sortis dans les derniers mois. Par contre, pas de VF, mais je pense qu’il y a pire comme cours d’anglais. Voici donc nos meilleurs informations à savoir avant de partir à Montréal ! Et vous, quelles sont vos astuces en ce qui concerne la ville de Montréal ? Des endroits à proposer pour ceux qui sont déjà venus au Canada ?
Visiter Toronto : les meilleures infos pour préparer son voyage
Vous allez visiter Toronto mais vous vous demandez comment vous organiser ? Pas d’inquiétude, voici nos meilleures infos pour préparer votre visite à Toronto à tête reposée. Visiter Toronto, c’est visiter la plus américaine des villes canadiennes, avec ses nombreux gratte-ciels. Et contrairement à Montréal, Toronto est une ville anglophone. Plus grande ville du Canada, elle dispose d’une économie performante qui lui vaut la 3e place dans le top 5 du classement PWC des villes à opportunités. Plus de 60 incubateurs de startups sont présentes dans la ville et proposent un support conséquent, comme l’incubateur DMZ qui rassemble 75 startups. En 2014, Toronto a remporté le Intelligent Community Award, titre de communauté la plus dynamique et inspirante en matière de ville intelligente délivré par le ICF, un organisme qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Ce qui en fait une destination de choix pour les acteurs de l’économie numérique. C’est pourquoi, chaque année, les étudiants en 3ème année de Bachelor Webmarketing à l’ESCEN partent s’immerger pendant 2 mois à Toronto. Prendre son billet d’avion pour visiter Toronto Vol Paris Toronto Le prix moyen du billet de Paris à Toronto s’élève à 576 € selon le site algofly.fr. Le site indique qu’un prix exceptionnel s’élève à 372 € et qu’un bon prix se situera autour des 436€. Quand réserver son billet pour Toronto ? Selon le site algofly.fr, si vous voulez acheter un billet Paris Toronto pas cher, il faut éviter de prévoir son voyage en janvier, en juillet, en août ou en décembre. Le site ou-et-quand.net préconise d’acheter le billet environ 10 mois à l’avance pour avoir un billet pas cher. Comment obtenir le meilleur prix ? Prenez un vol avec une escale, partez un samedi et revenez un lundi. (source : ou-et-quand.net) Les prix à Toronto Au Canada, les prix affichés n’incluent pas les taxes (tout comme les Etats-Unis). Vous devrez à chaque fois additionner une taxe au prix affiché pour calculer le prix TTC à payer. Une Taxe fédérale sur les Produits et Services (TPS) de 5% est applicable sur toutes les transactions au Canada, à l’exception de la nourriture de base. À cela, il faudra ajouter une taxe de vente provinciale qui s’élève à 8% pour l’Ontario. Vous devrez donc ajouter 13% de taxes en plus du prix affiché pour calculer le prix à payer. Par exemple, si vous achetez un produit affiché à 10 €, en réalité vous payerez 11,30 € (10 x 1,13 = 11,30). De plus, lorsque vous mangerez au restaurant, vous devrez rajouter un pourboire d’environ 15% au prix. En effet, au Canada, il est de coutume d’offrir un pourboire dans les restaurants, les bars et les taxis. Ce qui fait que vous payeriez 12,80 € votre repas affiché à 10 € avec une taxe et un pourboire cumulé de 28% (taxe de 13% + pourboire de 15%). Vous pouvez laisser le pourboire sur la table ou le remettre directement à votre serveur. Prévoyez votre logement avant de visiter Toronto Comme dans notre article sur Montréal, pour le logement, nous préconisons les sites internet tels que Kijiji, Craigslist encore AirBnB. Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le loyer moyen à Toronto pour un studio s’élève en moyenne à 685 € par mois. Prévoyez 137 € de plus pour un 2 pièces. Cependant, ces prix varient à partir du moment où vous vous éloignez du centre-ville. Comptez 739 € pour un studio au centre de la ville contre 616 € en moyenne aux extrémités de la ville comme à l’ouest de Bathurst ou à l’est de Bayview Avenue. Voici une carte avec les loyers moyens référencés en 2016. Notez que ces prix sont des moyennes, vous pouvez trouver des logements en centre-ville moins cher si vous vous y prenez assez tôt avant le voyage à Toronto. Que faire à Toronto ? Certaines activités à Toronto sont incontournables s’il s’agit de votre première visite. Du haut de ses 555 mètres, la CN Tower dans le centre-ville vous donnera une vue splendide sur toute la ville. Malgré des tarifs un peu élevés, la CN Tower vous donne accès à plusieurs attractions à vous couper le souffle. Pour vous détendre, vous pourrez prendre le ferry qui vous emmènera sur les îles de Toronto en 10mn. Plusieurs attractions vous attendent sur ces îles, comme un labyrinthe qui testera votre vivacité d’esprit. Pour les aquariophiles, l’aquarium Ripley du Canada vous permet d’explorer la vie dans un récif abritant 16 000 animaux marins pour environ 20 €. Les fans de street art pourront visiter le Graffiti Alley située dans le Fashion District au sud de Chinatown. Véritable galerie éphémère en plein air, Graffiti Alley dispose de plus de 1000 graffitis que des Street artists ont pu créer en toute légalité. Les basketteurs iront sans doute voire un match des Raptors, l’équipe de basket de Toronto. Le billet le moins cher vous coûtera environ 27 €. Ce prix peut très vite monter en fonction des places se rapprochant du terrain. Toronto : Chute du Niagara Toronto se trouvant dans l’Ontario, comment ne pas évoquer les célèbres chutes du Niagara ? Considérés comme la huitième merveille du monde, la question de votre visite ou non ne se pose même pas. Le plus simple est de prendre un bus Greyhound qui fait l’aller-retour entre Toronto et les chutes pour une vingtaine d’euros, pour un trajet d’environ 1h40. Les transports pour visiter Toronto Pour visiter Toronto, nous préconisions les transports en commun, qui restent une valeur sûre et permet de se déplacer à faible coût. À Toronto, les transports en commun sont gérés par la TTC. Non, pas toute taxe comprise mais la Toronto Transit Commission. L’organisme dispose d’une application sur Android et sur iPhone pour accéder aux informations en direct. Néanmoins, nous ne cesserons pas de préconiser l’application Citymapper qui est aujourd’hui un incontournable pour emprunter les transports en commun dans les grandes villes du monde sans prise de tête. Votre premier trajet aura lieu entre l’aéroport et la ville : il
5 conseils pour réussir sa rentrée à l’ESCEN
La fin de l’été approche et avec elle la rentrée : il est temps de revenir à votre vie étudiante. Vous souhaitez savoir comment bien préparer votre rentrée universitaire ? Logement, rythme de travail, vie associative : nous vous avons préparé quelques conseils pour débuter l’année scolaire en toute sérénité. Cet article est destiné principalement aux étudiants de l’ESCEN en Bachelor Webmarketing ou MBA Web Business mais les conseils s’appliquent très bien à tous les étudiants en études supérieures. Organisez votre année Lorsque vous recevez le calendrier pédagogique qui indique les périodes de cours, de stage et de Learning Expedition, nous vous recommandons de vous créer un agenda avec des rappels pour certaines dates importantes comme les dates d’examens, la recherche de stage, la recherche de billets d’avion et de logement pour la Learning Expedition ainsi que les différentes certifications à passer. Pour cela, rien de plus simple, rendez-vous sur un agenda tel que Google Calendar avec votre compte Gmail pro @escen.fr et créez un nouveau calendrier destiné à l’ESCEN. L’avantage de Google Calendar est que vous pouvez l’utiliser de manière synchronisée sur votre PC ainsi que votre smartphone. Définissez des couleurs spécifiques pour chaque sujet tel que vert pour le stage, bleu pour la Learning expédition et rouge pour les examens et les projets à rendre. Pour chaque entrée, ajoutez 2 à 3 rappels espacés dans le temps afin de rester informé des évènements à venir et de ne pas être pris de court. En organisant dès à présent votre année, vous vous donnez déjà les moyens de réussir celle-ci. Vous pourrez sortir cet argument lors de votre prochain entretien pour appuyer le fait que vous vous décriviez comme quelqu’un d’organisé. Mettez-vous au travail Au début de l’année, il est tentant de ne pas travailler tout de suite. Cependant, nous vous recommandons d’anticiper la charge de travail à venir dans les semaines qui suivent la rentrée. Cela vous permettra de gagner du temps sur vos révisions et de libérer du temps pour d’autres projets. En effet, à l’ESCEN, certaines semaines de l’année peuvent se trouver très chargées, notamment les fameuses semaines de Digital Business Hackathon. Il vous suffit par exemple de relire un des supports de cours à la fin de la journée afin de le mémoriser. En effet, vous serez plus à même de mémoriser des informations petit à petit régulièrement que de réviser à la dernière minute. Une étude démontre que la répétition espacée dans le temps est un des meilleurs moyens de mémoriser des informations sur le long terme. Pour travailler, nous vous recommandons de fonctionner par sessions agrémentés de pauses. Par exemple : 45 mn de travail, 15 mn de pause, 45 mn de travail. En compartimentant votre travail, vous pourrez fournir un meilleur effort sans avoir un sentiment de lassitude au bout d’un certain temps. En travaillant régulièrement dès le début, vous vous assurez de réussir votre semestre. Si vous avez des difficultés dans une des matières, n’hésitez pas à solliciter l’intervenant ou un de vos camarades à la fin du cours ou dans les jours qui suivent celui-ci. Pour les plus à l’aise d’entre vous, vous pouvez développer des compétences complémentaires en vous inscrivant sur des plateformes de MOOCs (cours en ligne accessibles à tous) comme OpenClassrooms ou Coursera. Trouver un logement Pour ceux qui n’auront plus la chance d’habiter avec leurs parents, il faudra trouver un logement convenable pour la rentrée. Pour commencer, définissez votre budget. Vous pouvez entrer en contact avec la CAF pour déterminer si vous êtes en droite de toucher ou non l‘APL, l’ALF, ou l’ALS. Celle-ci met même un simulateur à votre disposition pour vous faciliter la tâche. Ensuite, calculez les diverses charges que vous aurez comme l’achat de meubles, la taxe d’habitation, l’électricité, les frais d’agence, le loyer, le montant de dépôt de garantie et l’assurance logement. Pour trouver un logement, vous disposez de sites réputés tels que leboncoin.fr et pap.fr où les petites annonces ne manquent pas. Ces sites vous permettront déjà de vous dispenser des frais d’agences car vous serez directement en contact avec un particulier. Vous pouvez aussi vous aider des réseaux sociaux comme Facebook avec les groupes tel que le fameux groupe WANTED. Enfin, certaines solutions comme celle du site BeMyNest.com vous accompagnent dans la recherche d’un logement qui vous convient sans avoir besoin d’un garant. La préparation du dossier de location en amont est primordiale. Préparez un dossier contenant plusieurs copies de votre pièce d’identité et de celle de votre garant, vos derniers bulletins de salaire, votre dernier avis d’imposition, le justificatif de domicile de votre garant ainsi que votre certificat de scolarité. Ce dossier déjà tout prêt vous permettra de faire une offre dès la fin d’une visite de logement. Vous vous démarquerez ainsi des autres étudiants qui ne viennent que visiter. Avoir une meilleure hygiène de vie Être en bonne santé est un élément essentiel pour non seulement bien aborder votre rentrée mais aussi pour réussir votre année ainsi que votre stage en toute sérénité. Pour améliorer votre santé, il existe 3 piliers indispensables mais simple à altérer. Le sommeil est un facteur principal de votre santé. En effet, c’est ce facteur qui va vous permettre de recharger vos batteries et vos neurones pour les journées de cours. Cela vous permettra sans doute d’éviter le coup de mou qui intervient en début d’après-midi et de vous concentrer sur les cours. Pour la rentrée, nous vous recommandons de vous préparer une semaine à l’avance. Couchez-vous assez tôt le soir pour vous réveiller le matin comme si vous deviez aller en cours, tout en ayant eu 8h de sommeil. Un autre moyen d’améliorer la qualité de votre sommeil est de pratiquer une activité sportive. Cela peut avoir plusieurs bénéfices pour votre santé et votre mental. En effet, une étude menée par des chercheurs de l’Université de Grenade démontre que l’activité physique améliore vos performances cognitives tout en vous permettant de développer une meilleure condition physique. Vous pouvez
L’AVENTURE BIG BOOSTER

Je suis Responsable Communication chez Nouveal e-santé, qui a développé la solution e-fitback qui permet de préparer, accompagner et suivre le patient depuis son domicile. Cette solution est mise à disposition des établissements de santé qui souhaitent offrir une réelle qualité de suivi du parcours administratif et médical de leurs patients, tout en digitalisant et en optimisant leurs processus de fonctionnement. L’aventure a débuté en juin 2016 lorsque Alexandre FALZON, co-fondateur de Nouveal, est venu me parler de ce programme “Big Booster” qui pouvait nous emmener à Boston. Trois catégories : Bio & Health, Environnement et Tech étaient proposées. J’avais alors l’été pour préparer le dossier de candidature pour que Nouveal e-santé soit sélectionnée parmi les 92 startups. La problématique que j’ai eu était la suivante : e-fitback est une solution en constante évolution puisque nous la mettons à disposition en SaaS. De nombreux changements ont dû être pris en compte dans la roadmap présentée dans le dossier de candidature. Le 10 octobre, nous avons été sélectionnés : un pas de plus vers Boston. Il ne me restait plus qu’à préparer mon pitch en Anglais. J’avais déjà eu l’occasion de pitcher devant un panel de professionnels en visioconférence par le biais du Care Talks Tour de Business France – l’exercice n’était vraiment pas simple. C’est donc mardi 8 novembre que le programme Big Booster a réellement démarré. L’objectif “Go to Boston” gravé dans mon esprit et le support du pitch prêt, c’est très enthousiaste que je suis arrivée le premier jour, avec une légère appréhension que tout l’événement allait se dérouler en Anglais. “Qu’êtes-vous venus chercher dans le programme Big Booster ?” Fabien Robineau – Vice Président Capgemini Consulting Group & Animateur du Lyon Booster Camp J’avais déjà conscience de l’énorme opportunité qui m’était donnée de représenter Nouveal e-santé dans un événement d’une telle ampleur. L’objectif était double : – emmener notre solution e-fitback à Boston, – profiter de l’entreprenariat et de l’innovation qui se dégageaient de cet événement pour m’enrichir professionnellement. Divisés en groupes de 4 startups avec 4 mentors, le ton a rapidement été donné avec le premier crash test pitch du mardi matin. Les sessions mentoring qui ont suivi ont complètement remis en cause le pitch originel, ainsi que sa structure . A partir de là, j’avais littéralement 48 heures pour améliorer encore et toujours mon support afin de répondre aux questions suivantes : Quel est le problème auquel vous répondez ? Quel est votre marché ? Quelle est votre cible ? Quel est votre modèle de revenu ? Qu’est ce qui vous différencie ? Pourquoi voulez-vous aller à Boston ? Combien souhaitez-vous lever ? Le rythme était soutenu : on réalise en 72 heures le condensé de plusieurs mois, voire plusieurs années de travail. Tout ce travail était entrecoupé de Key Speaker Sessions réparties sur les trois jours du Booster Camp. Les sujets étaient les suivants : What about the essentials to grow and go international ? How to speak with Investors What about your pitch ? What makes you win / Are you ready ? L’ambiance de l’événement était convivial, avec un ton très proche adopté lors des différents moments d’échanges. En réalité, il n’y a aucune rivalité entre les startups, car l’objectif est avant tout de challenger son business model, de le remettre en cause, ou encore d’accepter les critiques, aussi difficiles soient-elles à entendre. Des startups venues des quatre continents étaient présentes pour présenter leurs solutions, qui n’étaient même pas toutes au stade de commercialisation. Certains entrepreneurs sont venus avec une simple idée en tête, puis sont reparties avec un business modèle complet et prêt à être présenté devant des investisseurs. D’autres on repositionné leur offre ou découvert des segments d’utilisateurs auxquels ils n’avaient pas pensé… L’apport du programme Big Booster va bien au-delà du billet pour Boston ! La bienveillance avec laquelle les mentors nous accompagnent est rare et tout à fait exceptionnelle. Leurs différentes visions du “Best pitch” et leurs conseils sont autant d’éléments qui ont fait que mon support était plus qu’abouti après des heures et des heures de travail. “Be yourself and have fun” C’était la phrase la plus répétée le jour du pitch par les speakers, les mentors ou encore les autres startups avec qui j’étais. Et je l’ai suivie avec plaisir. J’ai eu la chance de passer devant un jury composé d’investisseurs et de grands noms du domaine médical – une véritable vitrine pour Nouveal e-santé. L’attente des résultats après le pitch était particulièrement longue… Et c’est à partir de 18h que les résultats ont été annoncés, précédés par un mot des organisateurs sur cette édition 2016. Et le verdict est tombé : Nouveal e-santé est sélectionnée parmi les 20 startups qui iront pitcher leur solution à Boston. La consécration pour toute l’équipe. Une vraie reconnaissance de notre travail. Une incroyable expérience pour la jeune Responsable Communication que je suis. La prochaine étape sera donc à Boston, où l’objectif sera non seulement de pitcher pour être sélectionné parmi les finalistes de notre catégorie, mais aussi et surtout commencer à développer des partenariats pour signer notre premier contrat avec les Etats-unis courant 2018. Cette opportunité internationale intervient en amont et en complément de mon départ de deux mois à San Francisco en avril prochain dans le cadre de mon MBA Web Business à l’ESCEN. Live Periscope Vidéo Autres articles sur le sujet Big Booster : 20 entreprises innovantes sélectionnées à Lyon pour Boston– Le progrès Qui sont les 20 startups invitées à découvrir le marché américain avec Big Booster ? – Maddyness
Visite d’entreprise : à la découverte du service publicité du Progrès

À l’occasion des 20 ans du site internet du Progrès, les étudiants de 2ème année de Bachelor Webmarketing du campus de Lyon ont eu l’opportunité de visiter les locaux de ce journal régional et de rencontrer ses équipes du service publicité. Pour rappel, Le Progrès c’est plus de 800 collaborateurs, 1,5 millions de lecteurs avec 30 millions de pages web vues par mois et 300 000 exemplaires tirés chaque nuit. L’objet de cette visite était la découverte du système de diffusion des publicités, dans le journal ou sur le web. Ils ont pu rencontrer les commerciaux en charge de la définition du besoin client, puis le service pré-presse studio qui transforme ce besoin en maquette et qui permet au client de choisir le format et le design de la publicité. Ensuite, ils ont rencontré le service trafic qui est chargé de s’assurer de la conformité du format de la publicité et de transférer ces demandes au support papier avant l’impression du journal (soit avant 16h). Les étudiants ont également pu découvrir le système de tarification qui varie en fonction de différents critères tels que le jour de parution, la géolocalisation ou la taille de la publicité. Concernant la publicité en ligne, le processus est similaire. Le service pré-presse est remplacé par un studio de graphistes web qui créent les publicités avec Adobe Photoshop et Adobe Animate. Les animations se font en HTML5 et Javascript afin de ne pas alourdir la page et de conserver une qualité de navigation optimale. L’upload des publicités se fait de manière simple grâce au CMS interne du journal. Une belle illustration concrète de ce que les étudiants apprennent chaque jour dans l’école du web business. Merci aux équipes du Progrès qui ont su faire preuve de pédagogie pour expliquer leurs métiers et merci à M. Reydellet, notre professeur de Marketing à l’ESCEN, qui a rendu possible cette visite. L’ESCEN offre des formations en webmarketing allant du Bachelor au MBA, en passant par la Formation Professionnelle. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à télécharger notre brochure.
LYON START C-UP DU 27 AU 29 MAI
Le week-end du 27 au 29 mai 2016 les étudiants du Grand Lyon sont invités à vivre une grande aventure entrepreneuriale en participant au Start C-up Lyon. Le Campus lyonnais de l’ESCEN accueillera cet événement dédié à l’émergence de start-up. Les participants auront 50 heures pour développer un projet d’entreprise, créer un modèle économique et devenir LA Start-Up la plus prometteuse ! Cet événement organisé par 4 Esceniens de Lyon va permettre à une centaine d’étudiants de tous horizons de se rencontrer pour concrétiser leurs idées de business. Qui sont les participants : des passionnés de création, d’innovation et de start-up ! 3 profils sont attendus : – Technique (développeurs, programmeurs, intégrateurs…) – Créatif (designers, graphistes, motion-designers…) – Business (marketing, communication, droit…) Comment ça se passe? – Les porteurs de projets présentent leurs idées pour séduire les participants et mobiliser une équipe avec des profils complémentaires. Une groupe de mentors sera présent pendant 20h pour accompagner les équipes et faire avancer les projets. Pourquoi participer à l’événement LYON START C-UP ? – Profiter de la bonne humeur : 50h de sueur, de rires, et de rencontres – Développer son réseau et vivre une aventure entrepreneuriale – Propulser une start-up prometteuse ! A la fin du week end, un jury professionnel, avec notamment Olivier Marx, fondateur d’Altics et DigiRocks, et Alexandre Fourtoy, fondateur et CEO d’1kubator, sélectionnera les projets les plus pertinents et aboutis. Les meilleurs projets seront récompensés par les partenaires de l’événement. En pratique : Le START C-UP débute le vendredi 27 mai 2016 à 18h30 (fin : dimanche 29 mai13 au soir) Lieu de l’événement : dans les locaux de l’ESCEN au 4 rue Paul MontRochet à Lyon Tarifs : – 10€ pour les membres BDE – 25€ pour les autres participants
24h de l’orientation communication et marketing
LE 19 MARS 2016, L’ESCEN PARTICIPE AU 24H DE L’ORIENTATION COMMUNICATION ET MARKETING Les « 24 heures de l’Orientation » à Paris, Bordeaux, Lyon par Digischool Il s’agit d’un un événement personnalisé pour des rencontres optimales entre les étudiants, leurs parents, et une sélection d’écoles spécialisées sur la thématique. L’ESCEN participe à cet événement car il propose des échanges de qualité avec les étudiants en recherche d’un enseignement spécialisé dans la communication et le marketing. Les spécificités du Salon 24h de l’orientation Digischool qui ont séduit l’ESCEN : 1 thématique une sélection d’écoles des rencontres one to one planifiées des master class pour découvrir son futur métier des séances de coaching Les avantages pour les étudiants : des rencontres qualifiées des réponses concrètes aux questions sur les cursus pédagogiques et l’employabilité un véritable gain de temps (prise de RDV en amont pour éviter l’attente) LE + : l’ événement est en livestreaming Vous ne pouvez pas vous rendre sur le salon ? Pas de problème, le salon vient à vous… En effet, vous pouvez vivre les 24 heures de l’Orientation en live par le biais de conférences retransmises en streaming et de corners écoles géolocalisés. Retrouvez nous le samedi 19 mars 2016 à : Paris, à l’Eurosite George V situé 28 av George V Lyon, dans les locaux de TLM situés 227 cours Lafayette Bordeaux, au Palais de la Bourse situé 17 Place de la Bourse Pour vous inscrire : 24h.orientation.com
Portrait alternance : Campaign Manager chez UPFLUENCE
Morgane, étudiante en M1 Webmarketing à l’ESCEN, est Campaign Manager en alternance chez Upfluence, entreprise technologique axée sur le Content et le Native marketing. Cette jeune entreprise lyonnaise composée de 25 personnes, préalablement incubée à San Francisco, développe un logiciel qui permet d’identifier, d’entrer en contact (par le biais de ses algorithmes propriétaires) et d’analyser plus de 5 millions d’influenceurs sur des plateformes sociales telles que Facebook, Twitter ou Instagram mais également au travers d’une large communauté de bloggeurs dans toutes les langues et dans tous les pays. Morgane y occupe le poste de Web Campaign Manager et a pour mission : – la gestion et suivi de campagne webmarketing – la création et la diffusion de contenus web (newsletter, social nuggets, articles) – le reporting de statistiques – le sourcing L’alternance pour une meilleure insertion professionnelle Pour Morgane, « la voie de l’alternance proposée par l’ESCEN, et favorisée par la notoriété de l’école auprès des professionnels, permet un accès plus aisé au monde du travail ». Une école tournée vers l’entreprise Morgane est aussi satisfaite des mises en situation pratiques réelles organisées par l’école en place tout au long de l’année, comme les Digital Business Hackathon, permettent aux étudiants de se familiariser aux problématiques concrètes de l’entreprise. Focus Métier Le Campaign Manager est au centre du dispositif Webmarketing. Il a pour misison de suivre et analyser les campagnes publicitaires des annonceurs et proposer des pistes de réflexion pour optimiser les campagnes. Photo récupérée sur site Upfluence de Morgane