11 conseils pour écrire une newsletter efficace
Newsletter efficace : Une newsletter est un outil de communication devenu incontournable. Comme son nom l’indique elle permet de tenir ses clients au courant des nouveautés de l’entreprise. Elle possède également d’autres fonctions. Avant de vous lancer dans la création de votre newsletter, vous devez réfléchir à la stratégie. Votre newsletter doit répondre à des objectifs bien définis. Voici plusieurs points essentiels pour une newsletter efficace. 1. Newsletter efficace : Définir les objectifs Une newsletter peut comporter un ou plusieurs objectifs : – Promouvoir un produit ou service – Informer vos clients de l’actualités de l’entreprise, des évènements – Fidéliser vos clients – convertir des prospects – Générer du trafic sur votre site internet ou votre blog Celle-ci va dépendre de votre stratégie. 2. Newsletter efficace : Déterminer la cible La cible correspond aux destinateurs de votre newsletter. Il peut s’agir de vos clients ou vos prospects en fonction de vos objectifs. Il est important qu’elle soit déterminé avant l’étape de rédactions de votre newsletter. Le contenu, le design et la périodicité de votre newsletter sera établi en fonction de votre cible et de ses habitudes. 3. Newsletter efficace : Choisir la périodicité de l’envoi La périodicité de votre newsletter (hebdomadaire, mensuelle, trimestrielle, bimensuelles) va dépendre de vos objectifs. C’est un choix stratégique auquel il faut réfléchir. Vous devez faire attention à ne pas trop inonder la boite messagerie de votre prospect au risque qu’il se désabonne. La périodicité n’est pas facile à déterminer. C’est pour cela que je vous invite à faire des tests sur un échantillon de votre cible. Le contenu est roi, sans lui, il vous sera difficile de produire une newsletter régulière. Veillez donc à produire assez de contenu de qualité afin d’alimenter chaque numéro. Pour vous aider, vous pouvez mettre en place un calendrier éditorial afin de réfléchir au contenu mais aussi à noter tous les évènements, articles et projets que vous souhaitez communiquer à votre cible. 4. Newsletter efficace : Rafraîchir la mémoire de votre souscripteur Il peut arriver que vos visiteurs ne se souviennent plus avoir souscrit à votre newsletter. Il est donc important de leur rappeler qu’ils se sont volontairement inscrit afin d’éviter d’être perçu comme des spammeurs. Vous pouvez envoyer un mail de confirmation après toutes inscriptions afin d’éviter une confusion dans l’esprit de l’abonné. 5. Newsletter efficace : Trouver un titre et des rubriques Vous devez trouver un titre accrocheur. Ce titre se rapporte à l’objet du mail. Il faut donc bien le choisir pour donner envie à vos abonnés de cliquer et consulter votre newsletter. Incluez des chiffres, faites une promesse claires, jouez sur le sentiment d’urgence, piquez la curiosité de vos lecteurs. Vous pouvez ajouter des icônes qui sont reconnu pour attirer l’oeil. Les titres cours ne sont pas plus accrocheur que les longs contrairement à ce que l’on peut croire. Testez pour vos premières newsletter. Vous pourrez ainsi analyser le taux de clique selon l’objet grâce à vos indicateurs de performances. Outre le titre, vous devez déterminer les rubriques de votre newsletter. Encore une fois, cela va dépendre de l’objectif de votre newsletter. Pour la plupart, vous retrouverez une rubrique agenda (présentant les événements futurs de l’entreprise), les nouveaux produits ou services, les dernières articles du blog. Vous pouvez également envoyer une newsletter dans le but d’organiser un concours ou lors d’une opération commerciale. N’oubliez pas d’inciter à l’action par le biais de “call to action”*. Ils vous serviront à attirer du trafic sur votre site internet ou votre blog. Vous pouvez proposer un sommaire au début de votre newsletter si vous avez beaucoup d’informations. Ceci facilitera la lecture. 6. Travailler le graphisme et la template Beaucoup d’entreprises communiquent par l’intermédiaire d’une newsletter. Afin d’être reconnaissable auprès de votre cible, vous devez avoir un design en cohérence avec votre charte graphique. Votre newsletter doit contenir votre logo et nom d’entreprise. Le design doit être attractif, ergonomique et en accord avec les couleurs de l’entreprise. Concernant la disposition des rubriques, des images, des titres, plusieurs choix s’offre à vous. Vous avez la possibilité de faire appel à une agence de communication ou un professionnel indépendant pour établir le design de votre newsletter. Vous pouvez aussi le réaliser grâce à une template proposé par les logiciels d’e-mailing tels que sarbacane ou mailchimp et qui vous permettent de les personnaliser. Certaines templates sont gratuite. Essayez de garder la même typographie pour toutes les newsletters afin de garder une signature reconnaissable par votre cible. 7. Choisir un outil d’e-mailing De nombreux logiciels spécialisés dans le mailing existent et propose des solutions gratuites qui peuvent être complété par des fonctionnalité payante. Un modèle économique proche du freemium. La souscription se fait le plus souvent par abonnement mensuel ou annuel. Les prix varies selon la personnalisation des templates, le nombre de mails envoyés par mois ect. A vous de réaliser une comparaison de ces différents logiciels en fonction des fonctionnalités proposées (autonomie,gestion,statistique) et de vos objectifs. 8. Produire un contenu attractif Soignez votre style rédactionnel pour une lecture dynamique et agréable. La majorité des personnes vont dans un premier temp faire une lecture rapide de votre contenu. C’est pourquoi vous devez être concis et aller à l’essentiel. Servez-vous des gros titres pour résumer ce vous souhaitez dire. Un titre = une idée. Ensuite, privilégiez deux ou trois phrases pour décrire votre idée correspondant au titre. Vous l’aurez compris vous avez 2 /3 phrases pour convaincre vos lecteurs. Favorisez les visuels tout en respectant un ratio de 80% de texte et 20% d’images. N’hésitez pas à varier votre contenu : articles, news, events, conseils, témoignages, offres promotionnelles, concours ect. 9. Mettre à jour votre base de donnée Veillez à garder votre liste de diffusion à jour afin d’éviter d’envoyer votre newsletter à des adresses mails qui n’existe plus ou bien qui vous place comme spammer. Vous pouvez également segmenter votre base de donnée en fonction du comportement de vos abonnée, leur degrés d’engagement, leur localisation ect. Il est recommandé de segmenter les nouveaux
Comment démarrer un compte Instagram avec zéro follower (Partie 1)
Démarrer un compte Instagram : Vous venez de créer un compte instagram pour partager vos photos, vos souvenirs, vos joies ou vos peines. Malheureusement, personne ne s’abonne, ni ne regarde vos stories… On a tous connu cette solitude des débuts qui n’est pas impossible à surmonter. Avec un peu de patience et une bonne stratégie vous pouvez rapidement gagner en visibilités et peut être même utiliser votre compte dans un but plus business. En agissant sur ces 14 éléments votre compte instagram sera assurément plus visible et votre nombre d’abonnées augmentera considérablement. 1. Démarrer un compte Instagram : La bio Pour commencer, lorsque que vous créez un compte instagram vous devez renseigner ce que l’on appelle la biographie. Il s’agit d’une présentation libre et originale de qui vous êtes, ce que vous faite (métier, job étudiant) ou vos passions. Tout dépend de l’objectif de votre compte. Vous avez la possibilité de mettre un lien (site internet, blog, cagnotte). Démarrer un compte Instagram : Vous devez trouver un nom pour votre compte instagram qui sera également visible dans votre bio. Choisissez avec attention ce nom car il est également référencé. Si une personnes réalise une recherche sur Instagram, votre compte sera visible si la recherche correspond à votre titre. La biographie est très importante car elle partage un but similaire au CV : elle permet de faire bonne impression et de se mettre en avant. Elle est comme un tableau blanc qui vous donne la possibilité de réécrire qui vous êtes. Ce que vous allez écrire va donc en dire long sur qui vous êtes et va permettre aux autres qui passe sur votre compte de cerner votre personnalité. Soyez donc authentique et unique. La biographie s’apparente à une page de couverture d’un livre. Si les personnes qui la lise sont captivé, ils ouvriront le livre ou l’achèteront directement. Si les followers sont captivé par votre biographie, ils choisiront d’en savoir en plus et de vous suivre en s’abonnant à votre compte. La biographie n’est pas celle que l’on connaît. Instagram est le réseau social du “plus c’est court mieux c’est”. Ainsi le nombre de caractère est limité. Votre biographie sera très courte. D’où l’intérêt d’être captivant et original. Vous pouvez illustrer vos propos par des icônes, caractères ou langues (français, anglais, arabe). Il n’y a pas de plan à suivre, vous pouvez écrire ce que vous voulez. Vous avez également le droit de rien n’écrire mais je vous le déconseil. Mise à part quelques intrigués personne ne lirait ou acheterai un livre dont la page de couverture est vide. Vous êtes libre de faire et d’écrire ce que vous souhaitez, ayez juste en tête que tout ce que vous écrirez transmettra une image de vous aux autres. 2. Démarrer un compte Instagram : Le feed Démarrer un compte Instagram : Le feed correspond à l’enchaînement de vos images postées. Cette galerie photo doit faire ressortir une harmonie entre les couleurs et le mood de chaques photos. De plus, tout comme la bio, le feed transmet un message et donne un indice sur qui vous êtes. Vos photos vont évidemment dépendre de vos thématiques et de ce que vous souhaitez partager. Il faut veiller à garder une cohérence entre les photos tant dans les couleurs que la luminosité, les ombres, la netteté ect. Cela demande une réflexion avant de posté une photo. Cette réflexion peut d’ailleur ce faire lors de la prise de vos clichés. Si vous ne souhaitez pas trop réfléchir et choisir après coup quelle photo publier, il est possible de les retoucher. De nombreuses applications gratuites ou payantes existe pour retravailler à l’aide filtre, les couleurs, la luminosité, la netteté et l’intensité des couleurs. D’ailleurs il se développent de plus en plus ce que l’on appelle les “presets”. Il s’agit de réglages photos prédéfini permettant de créer des univers aux photos. Les presets sont très utilisés par les instagrammers car ils permettent d’automatiser la retouche photo en une application. Lightroom est l’application la plus populaire mais vous avez également de très bonne application comme VSCO et Snapseed. Exemple de retouche photos avec lightroom : 3. Démarrer un compte Instagram : Les stories Démarrer un compte Instagram : Il n’est pas inutile de faire une story instagram quand vous débuter avec 0 followers car en utilisant des hashtags (de lieu ou selon la thématique) vos stories seront référencées par instagram. De cette façon vous pouvez attirer des followers sur votre compte. Vous pouvez démarrer vos premières stories en vous présentant et parler de ce que vous allez partager sur votre compte ( recette de cuisine, passion pour le foot ect.). Vous pouvez épingler vos stories afin de les mettre en avant. Ils seront dès lors visible à toutes personnes qui passent sur votre compte instagram. Elles pourront visionner du contenu et si votre contenu leur plaît, elles seront incitées à s’abonner. Après quelques abonnées durement gagnés, il faut évidemment publier une story régulièrement pour éviter que vos followers ne vous oublie. En effet, lorsque vous réalisez une story, celle-ci est visible en haut du fil d’actualité des followers. Tout ce que vous publiez peut être partagé dans la story de vos followers et ainsi rendre votre compte visible par la communauté de vos followers. Vous êtes libre de partager ce que vous voulez, il est possible de mettre une musique, de questionner vos followers, de réaliser un quiz. Communiquez avec vos followers afin de créer de l’interactions et de prévenir les désabonnements ! Petite technique permettant de montrer votre intérêts à vos followers : le shout out. Il s’agit de mettre en avant les followers qui ont liké vos photos en les remerciants en story. N’hésitez pas également à partager la story de comptes que vous suivez et qui possède un nombre important de followers en les identifiants sur votre story. Ils pourront dès lors recevoir un message annonçant que vous les avez identifié. Cette dernière vous permettra de faire connaître vos comptes et de gagner plus de
Être étudiante et freelance, le témoignage d’une lyonnaise.
Étudiante et freelance : Une jeune lyonnaise étudiante en école de commerce spécialisée dans le web a accepté de partager son parcours d’auto-entrepreneuse. Tout en réalisant ses études celle-ci à travailler en tant que freelance dans la création pendant plusieurs années. Son témoignage saura apporter de bons conseils pour tous les étudiants souhaitant se lancer dans l’aventure entrepreneurial ! 1) Pour commencer, peux tu rapidement nous présenter ton parcours ? Après l’obtention de mon BAC, j’ai réalisé en 2014 un BTS Communication des Entreprises. A la suite de celui-ci, j’ai souhaité me réorienter vers un autre BTS en infographie et multimédia. J’ai poursuivi vers une licence en direction artistique webdesign et motion design en 2017. Enfin, j’ai décidé d’ajouter à mes compétences graphiques, des compétences marketing en Être étudiante et freelance Le témoignage d’une lyonnaise réalisant un master manager en stratégie digitale à l’ESCEN Lyon. Je suis actuellement dans ma dernière année de master. 2) Quand as tu commencé le freelance ? J’ai commencé ma freelance dans le domaine de la création pendant l’année de ma licence. C’est d’ailleurs, l’entreprise avec qui j’étais en alternance qui fut mon premier client. Mon tuteur m’a conseillé de continuer avec l’entreprise mais cette fois-ci en freelance. J’ai par la suite immédiatement créé mon statut d’auto-entrepreneur à la maison des artistes. 3) Pourquoi avoir décidé de te lancer en freelance pendant tes études ? Quand l’opportunité s’est présentée à moi, je trouvais que c’était un bon moyen d’arrondire mes fins de mois et également d’élargir son réseau professionnel. 4) Étudiante et freelance : Comment fais-tu pour concilier études et demandes clientes ? Étudiante et freelance : L’alternance me permet de bien gérer les études, car mon rythme d’alternance est d’une semaine à l’école et de trois semaines en entreprise chaque mois. En revanche, c’est beaucoup plus difficile d’aligner période en entreprise et projets freelance. C’est pourquoi j’accepte un seul projet par mois. Bien évidemment tout va dépendre de la taille du projet et de ma capacité à le réaliser. Si le projet est un gros projet, je me limite à un par mois. Si toutefois, les projets que l’on me propose sont petits, j’en réalise deux par mois le tout pendant mon alternance et mes études. La période des vacances d’été est une période où je suis beaucoup plus disponible, j’accepte donc de travailler sur plusieurs projets freelance dans le mois. 5) Quels prérequis faut-il pour devenir freelance ? Tout d’abord, il est essentiel d’avoir un savoir faire dans ce que l’on veut vendre. En effet le client fait appel à vous pour vos compétences et votre savoir faire. C’est donc un prérequis essentiel. Ensuite, bien évidemment il faut créer un statut d’auto-entrepreneur afin de légaliser l’activité. Enfin, vous devez vous faire connaître et rechercher des clients pour vous construire un réseau et portefeuille client. 6) Quels avantages t’on apporté cette double vie étudiant/freelance ? Travailler en tant que freelance m’a apporté beaucoup d’avantages : – Il m’a permis d’agrandir mon réseau professionnel – d’arrondir mes fins de mois – d’épargner – et d’expérimenter des nouveaux projets divers et variés tous secteurs confondus 7) As-tu rencontré des obstacles en tant que freelance et jeune étudiante ? J’ai effectivement rencontré plusieurs obstacles : ● Un manque de confiance en mes compétences de la part de certains clients étant donné mon statut de jeune étudiante. Il faut régulièrement faire ses preuves pour être crédible aux yeux des autres. ● Mon secteur d’activité est malheureusement un secteur qui à connu et qui connaît toujours une vulgarisation des compétences. En effet, beaucoup de personnes s’approprient le métier et se vend graphiste bien qu’ils ne soient diplômé d’aucune formation. Le graphisme est un vrai métier qui nécessite un travail de recherche et de créativité. Une connaissance professionnelle des couleurs et de la manière de les assemblés pour créer quelque chose de beau et d’unique. Or beaucoup de personnes proposent de réaliser les services d’un graphiste (logo, maquette, flyer) sans aucune compétences techniques et créatives en utilisant des outils qui ne sont pas dédié à la création (illustrator, photoshop, indesign). Bien souvent, ces personnes cassent les prix ce qui a un impact sur notre activité en tant que graphiste. D’ailleurs, aujourd’hui on trouve des sites spécialisés (canvas par exemple) qui permettent de réaliser des affiches, logos maquettes, cartes de visites, flyers avec des templates prédéfinis. Cela pousse bien évidemment les clients à s’en servir pour réaliser eux mêmes lors supports. 8) Étudiante et freelance : As-tu rencontré de mauvaises situations avec certains clients ? Si oui lesquelles, et comment les as-tu gérées ? Étudiante et freelance : Je n’ai pas eu de mauvaises situations car je commence toujours avec un acompte. Tout dépend de l’ampleur du projet. Si c’est un projet coûte plus de 1000 euros, ce sera un acompte de 50%. Si le projet est à moins de 500 euros, c’est un accompte de 40%. Ainsi même si je débute le projet, je m’assure que la personne finit toujours par payer. 9) As-tu rencontré des difficultés pour trouver des clients ? Comment faire pour toujours en trouver ? J’ai effectivement éprouvé des difficultés au début de ma freelance à trouver des clients. Je me suis inscrite dans des plateformes d’auto-entrepreneurs pour les graphistes et webdesigners. J’ai commencé à avoir un, deux, puis trois clients. Par la suite, ces clients m’ont amené d’autres clients. J’ai également bénéficié du bouche à oreille et des réseaux sociaux. J’ai par exemple un compte professionnel sur instagram sur lequel les clients peuvent me contacter et voir mon travail. Mes clients constituent aussi un canal pour attirer de nouveau clients. Satisfait de mon travail, ils en parlaient autour d’eux ce qui me permettaient d’avoir de nouveaux clients. De manière générale, pour avoir des clients il faut soigner son image et sa e-réputation notamment sur les réseaux sociaux. Il est bien aussi d’avoir un site internet pour être visible sur internet et veiller à bien référencer son site pour que celui-ci apparaît dans les premiers résultats de
La Big Data et ses problèmes
Par Safia Delhay, étudiante Le Big Data est-il une source d’informations sure ? Big data signifie « grosse données » en anglais mais littéralement cela signifie « méga données », « grosses données » ou bien encore « données massives ». Et aujourd’hui, nous allons définir ce qu’est réellement la Big Data. Et où nous pouvons la retrouver précisément. Nous allons nous concentrer sur quelques-uns de ses problèmes qui peuvent endommager sa crédibilité. Qu’est-ce que la Big data ? Explication de sa puissance Lorsque nous ne savions pas quoi faire de ces quantités astronomiques de données (explosion quantitative) qui afflluées, les chercheurs, ont dû trouver une solution. Selon planetoscope, chaque seconde, 29.000 Gigaoctets (Go) d’informations sont publiées dans le monde, soit 2,5 exaoctets par jour et 912,5 exaoctets par an. Et c’est pour cela que le Big Data fût créé. Ces données étaient l’opportunité de trouver une nouvelle façon de voir et d’analyser le monde. Le Big data a pour concept de stocker un nombre indicible d’informations sur une base numérique qui une fois traitées et exploitées peuvent contenir des informations intelligibles et pertinentes. Cet outil fut créé, car aucun outil classique de gestion de base de donnée ou d’informatique ne peuvent travailler avec autant de données. Depuis, son futur est assuré, le marché est en constante croissante comme le volume de données. De plus, les entreprises ont conscience de la force des données et c’est pour cela qu’elles sont de plus en plus nombreuses à adopter les technologies analytiques. Beaucoup d’entreprises développent leur collecte de data, l’exploitation de celle-ci, mais aussi l’analyse, la sécurité et autre. Le terme de Big Data est caractérisé par : la vélocité, la variété et le volume. Il s’agit d’une large quantité de données structurées ou non structurées. La vélocité se réfère à la vitesse de traitement de ces données. Les entreprises qui se servent de le Big Data et de l’intelligence artificielle ont un avantage considérable par rapport à ceux qui ne l’utilise pas. De plus elles gagnent aussi beaucoup plus d’argent grâce à cela. C’est une question de retour sur investissement, les entreprises qui investissent beaucoup sur le Big Data ont rapidement un retour sur investissement tandis que celle qui choisissent d’ignorer la puissance du Big Data perdent beaucoup d’argent. Ces données proviennent de partout : des messages que nous nous envoyons, des vidéos que nous publions, des informations climatiques, des signaux GPS, de nos achats en ligne et plus encore. En conclusion, on peut dire que le Big Data est source de bouleversement de la société, il nous permet d’accéder en temps réel à une immense base de données. Le Big Data apporte beaucoup de bénéfices, mais peut aussi apporter des inconvénients. Les données de mauvaise qualité Le problème majeur de la Big Data est la présence de données incomplètes. Des données récoltées par des employés qui font des erreurs et qui s’accumulent au fil des années. En clair, la qualité des données est loin d’être bonne et pourtant même si le problème est identifié, il reste caché et inconnu de l’organisation.Malheureusement ce problème est trop souvent sous-estimés. Nous allons voir deux cas de figure dans lesquels ces erreurs peuvent survenir. Premièrement, les changements de processus internes peuvent nuire à la gestion des données. Cela peut donc arriver lors d’un changement du système de nettoyage, car lors de la purge ou du traitement des données, le risque de dégradation est plus important. Cela peut arriver au moindre changement, comme le changement d’outils, la venu d’un nouvel employé qui pourrait utiliser d’autre méthode ou être moins qualifié. En clair, cela peut arriver facilement sur tout le monde. La seconde est évidemment l’entrée d de nouvelles données (par la réactualisation des informations qui existait déjà, auparavant ou bien l’introduction de nouvelles data) qui sont les erreurs en quantité et de qualité. De plus, l’explosion des réseaux sociaux ne fait qu’augmenter le trafic de données. Pour conclure cette petite partie, la qualité du Big Data est endommagée pour de multiples raisons, mais il y a comme une impression que personne s’en inquiète et que beaucoup d’entreprise se base sur ses informations comme si elles étaient sûres à 100 %. L’effet GIGO L’effet GIGO, qui veut dire « garbage in, garbage out ». Cette expression signifie avoir une confiance aveugle et manquer d’objectivité. L’effet GIGO du Big data : lorsqu’on rentre dans le système des données erronées même si le système est parfait, logiquement les données reste erronées à la sortie. Le risque est alors de tirer de mauvaise conclusions sur de mauvaises informations. Et lorsque beaucoup font une confiance aveugle au Big Data et qu’il se réfère à lui comme si l’erreur était impossible, c’est ce qu’on appel l’effet GIGO. Pour le définir plus simplement ce phénomène est la tendance des personnes a accepter la véracité de la sortie d’un système sans la remettre en question. Les objets connectés et ses données Les objets connectés (internet of things, IoT) sont des objets qui captent, traitent et transmettent les données, ils ont donc un lien direct avec le Big Data. Ils ont la capacité à se connecter à un réseau d’information afin de recevoir et donner des instruction. De plus en plus de personne invitent ces objets chez eux, leurs maisons deviennent au fils du temps des maisons connectées (smart home). Beaucoup de chose sont automatisé mais ce qui nous réellement ce sont vos données. Oui, votre maison est devenu un lieu où l’on analyse vos information car afin de comprendre vos besoins et de pouvoir faciliter le ciblage publicitaire par exemple il est très utile. Ces données collectée vont ensuite être stockés puis grâce au Big Data elles vont pouvoir être analysé. Plus le temps passe, plus les gens acquièrent ces objet et plus le volume de données augmentent. Alors quel est le réel problème ? La cybersécurité. L’essor du Big Data et des objets connectées rend la sécurité de plus en plus compliqué car les hackers convoitent les systèmes informations. De plus,
Numérique en France : Coronavirus et répercussions
Quelles sont les répercussions de la période coronavirus sur le numérique en France ? Par Safia Delhay, étudiante. Numérique : La pandémie de coronavirus balaie la planète entière, en France le nombre de morts est à ce jour de 29 000 personnes. Humainement c’est horrible, mais il y a aussi d’autre répercussion sur le monde. Cette situation sans précédent, signifie que nous devons changer nos habitudes, se développer autrement et se tourner davantage vers le digital, globalement il faut remettre en question toute notre façon de penser. Aujourd’hui nous allons aborder tout cela. Les secteurs touchés dans le digital Je vais vous présenter quelques secteurs en lien direct avec le digital qui on subit des dommages dûs au covid 19 : Les dépenses dans le secteur du voyage est en chute libre. Dans ce domaine il y a du chômage technique et des agences à l’arrêt complet. Le démarrage risque d’être compliqué et assez timide. Mais une fois cette crise passé les gens auront fortement besoin de partir et à ce moment la ils pourront redémarrer. Dans le domaine du cosmétique, les ventes se sont effondrées mais grâce a la vente en ligne il y a pu avoir une légère compensation. La majorité de leurs ventes ne se faisait pas sur internet c’est pour cela malgré le faites qu’ils fassent pas mal de vente sur internet cela ne compense pas assez. Pour les vêtements déjà avant le confinement les gens acheté de plus en plus sur internet ce qui a été bénéfique pour eux mais malgré tout, cela a tout de même engendrer beaucoup de perte. Le milieu de l’automobile est l’un des plus gros secteurs de la dépense digitale dans le monde . Et c’est pour cela que ce secteur a beaucoup souffert de cette crise. Car pourriez-vous changer votre voiture dans de pareilles circonstances ? Le dernier auxquelles nous ne pensons pas directement, ce sont les constructeurs aériens, ils consomme énormément de technologies embarquées et on du réduire fortement leurs capacité. De plus ce milieu dépend aussi du tourisme ce qui ne facilite pas leur projet futur. Digitalisation des entreprises françaises La digitalisation est un terme lié à la numérisation, c’est aussi lié aux nouveaux usages des consommateurs et aux nouveaux objets qui affectent directement le modèle commercial et l’organisation actuels. On peut l’associer à la définition de la transformation digitale, et ce terme est de plus en plus utilisé dans le cadre de la transformation numérique de l’entreprise. Le coronavirus a changé notre vie quotidienne, en particulier notre organisation au travail. Nous avons vécu une digitalisation intensive. Le premier signe de la digitalisation des entreprises françaises c’est le télétravail. D’après RTL 40 % des Français ont adopté le télétravail pendant le confinement. Et certain sont restés en télétravail même une fois le déconfinement arrivé. Au départ les entreprises étaient très réticente mais grâce au développement de nos technologies , on pouvait continuer à se retrouver lors de visioconférences et communiqué rapidement grâce au plateforme de messageries instantanée. L’importance pendant cette crise c’était de pouvoir s’adapter afin de continuer au mieux ses activités. Mais cela fait aussi appel à une bonne organisation et beaucoup de rigueur afin de pouvoir travailler en équipe mais à distance. En France, les PME (entreprise de moins de 500 employés) ont du mal à passer au digital, s’adapter est donc beaucoup plus compliqué pour eux que pour les startups et les grandes entreprises. La digitalisation des entreprises sert en premier temps à garder son activités en marche grâce au télétravail. C’est essentiellement une question de survie. Mais il sert aussi a rebondir pour pouvoir repartir sur de bonne base car économiquement tout le monde ne pourra pas se relever. Aujourd’hui, la transformation digitale ouvre de nombreuses portes avec de nouvelles sources de valeur, il suffit juste de savoir comment les utiliser. La digitalisation permet de pouvoir affirmer son image de marque, de se démarquer des concurrents afin d’entretenir un lien avec la clientèle. Et cela beaucoup le compris grâce au covid 19 qui a handicapé leurs activités habituelle. La digitalisation est aussi une sécurité car si l’entreprise a déjà été digitalisée avant le corona l’activité a pu surmonter les problème moins difficilement qu’une entreprise qu ne l’était pas. Pendant ce confinement beaucoup de boutique vitrine on commencé à se lancer sur internet en faisant une boutique e-commerce et en créent leurs réseaux sociaux. Pourtant même si la boutique en ligne n’est pas une obligation (hors covid), créer un site vitrine ainsi que des réseaux sociaux pour une boutique physique permettra de créer une meilleure expérience client, de se rapprocher d’eux et même de se faire de nouveaux clients. Le but est d’augmenter sa compétitivité et créer de nouveaux canaux d’acquisition de clients. En conclusion cette période aura permis à certaine entreprise de comprendre l’importance du digital pour une entreprise peut importe son secteur d’activité. Et ce contexte nous a démontrer à tous, petite,moyenne et grandes entreprises doivent être agile pour mettre en place une bonne stratégie de digitalisations des outils. Opportunité : Pour qui ? Tous les secteurs à distance ne nécessitant pas de contact humain peuvent continuer leurs activité même pendant le confinement et certain l’ont même renforcer. La grande distribution que se soit en magasin, en drive ou en livraison a explosé, elles n’a jamais connu une aussi grande vague d’achat. Un autres secteur a fait un bond de fréquentation : l’audiovisuel ! D’après une enquête de Ifop, fin mars 2020, 55 % des internautes interrogés disaient avoir augmenté leurs consommation de séries, 53 % pour les jeux vidéo et 50 % pour les films. Par ailleurs, la télévision a battu en mars son plus haut niveau d’audience historiquement. Les plateformes spécialisées dans la prestations de visionnement en ligne de film, séries, animés etc comme Netflix et Disney + par exemple ont aussi subi une hausse d’abonnement astronomique. Prenons Netflix en exemple : dans son rapport trimestriel du 22 avril 2020, il est précisé avoir dépassé son record avec 15,77
Les réseaux sociaux ont-ils un impact néfaste pour la génération Z ?
Qu’est-ce que c’est la génération Z ? Tout d’abord, la génération Z représente la population jeune née après 1995. Cette population est ultra connectée avec internet, les téléphones portables ou encore les réseaux sociaux. En effet, nous avons plus de 90 % des 15-29 ans qui déclarent avoir déjà eu accès à internet. Un jeune est donc plus susceptible d’utiliser internet contrairement à une personne plus âgée.Parmi ces nouvelles technologies, les réseaux sociaux ont créé un véritable engouement chez les jeunes. Dans la société actuelle, nous constatons que 44% des jeunes ne peuvent pas se priver des réseaux sociaux. D’autant plus, nous analysons que 12% des jeunes passent plus de cinq heures contre 56 % moins de deux heures par jour sur les réseaux sociaux. Cette nouvelle technologie rend addictifs et dépendants les plus jeunes ! Les réseaux sociaux, un grand phénomène d’addiction chez les jeunes. Premièrement, les réseaux sociaux sont un progrès pour les hommes dans le monde ! D’une part, les réseaux sociaux regroupent une multitude de fonctionnalité qui permet d’améliorer notre quotidienau niveau professionnel ou privé comme « WhatsApp » ou encore « Facebook ». Ces réseaux sociaux favorisent une communication rapide, efficace et gratuite partout dans le monde. Ces moyens de communication allègent les coûts téléphoniques et facilitent la communication avec notre famille, nos amis et nos collègues. En outre, les réseaux sociaux peuvent être perçus comme une échappatoire chez certains utilisateurs. Les jeunes partagent leurs passions à travers des photos ou des vidéos auprès d’une communauté sur les différents réseaux sociaux disponibles (ex : la danse, la musique, la mode). D’autant plus, nous avons de nombreux jeunes qui utilisent « Instagram » comme une passerelle pour avoir des opportunités professionnelles afin de concrétiser leurs projets. Par exemple, Imen Es est une jeune chanteuse française reconnue grâce à ses nombreuses vidéos publiées sur Instagram où elle met en avant ses talents de chanteuse. Par ailleurs, nous retrouvons également des comptes avec une forte visibilité qui exercent des partenariats avec des marques en échange d’une rémunération assez élevée. Ces comptes comptabilisant plus de 100 K peuvent donc avoir l’opportunité de gagner de l’argent facilement et rapidement. Les montants peuvent atteindre de 250 euros à 750 euros pour seulement une publication sur Instagram ou encore 1000 euros pour une vidéo sur YouTube. Ces tarifs varient selon le nombre de followers et d’engagement de l’influenceur. Par ailleurs, un nouveau métier apparaît dans le monde du travail grâce à YouTube : un créateur de contenu, plus précisément, « un youtubeur » comme par exemple, Cyprien. YouTube monétise les vidéos des youtubeurs afin de propulser la création du contenu sur la plateforme. Les jeunes s’immiscent de plus en plus sur YouTube pour partager leurs passions et gagner une rémunération en échange. Avant tout, les réseaux sociaux permettent de rester au courant des tendances et des actualités du moment en instantané puis les jeunes peuvent exprimer leurs opinions sur un sujet ! Actuellement, les jeunes ont utilisé les réseaux sociaux pour dénoncer le racisme des policiers en France et aux États-Unis. Un mouvement nommé « Black lives matter » a été lancé sur les réseaux sociaux pour mettre en avant l’injustice que George Floyd a subie. Ce mouvement a permis de faire avancer l’enquête ! Les réseaux sociaux ont un impact très puissant et c’est donc pour cela que les jeunes deviennent addictifs et dépendants ! Cette addiction peut provoquer une cyberdépendance non négligeable par la suite ! Les symptômes psychologiques sont l’incapacité à arrêter internet, le manque de temps pour ses proches, des problèmes d’assiduités pour le travail et une dépression lorsque la personne est privée d’internet. Ces symptômes peuvent être physiques : maux de tête et de dos, insomnie, repas irréguliers. La protection des mineurs non assurée Cependant, les réseaux sociaux regorgent de points négatifs et provoquent des effets psychologiques néfastes sur les jeunes ! Pour débuter, nous avons des mineurs qui sont davantage exposés à des dangers tels que l’usurpation d’identité ou des prédateurs sexuels. Parfois, les mineurs sont confrontés à des utilisateurs malsains qui utilisent une identité falsifiée. Les mineurs, étant inconscients des risques, échangent des informations personnelles à l’autre utilisateur. Pour ajouter, Tik Tok récemment ouvre inconsciemment la porte aux prédateurs sexuels. Ces personnes mal attentionnées profitaient pour rentrer en contact avec des jeunes filles mineurs présentes sur Tik Tok. Les réseaux sociaux n’assurent pas correctement la sécurité des mineurs malgré les conditions d’utilisation qui expliquent qu’il faut avoir un âge minimum pour s’inscrire sur la plateforme. Les réseaux sociaux, précurseur du harcèlement. Par ailleurs, nous avons « Twitter » qui cherche à lutter contre le cyber-harcèlement en mettant en œuvre des mesures contre ce type de comportement. Malgré ces démarches, twitter reste le réseau social qui regroupe le plus de propos haineux ! Récemment, une tendance a été lancé par les internautes sur twitter. Cette tendance consiste à incriminer une personne pendant une courte période. En France, nous parlons « d’être dans la sauce » pour désigner l’acharnement présent sur twitter. Une jeune influenceuse nommée « Roubaba » a subi cette harcèlement sur twitter à cause de sa chirurgie du nez. Elle a été victime d’une multitude de moqueries ! Nous avons également une chanteuse appelé « Doja Cat » qui a été victime de cyber-harcèlement sur twitter à cause de ses anciens propos racistes. Le harcèlement numérique concerne 240 millions d’enfants dans le monde. En effet, nous avons 22 % des jeunes qui affirment avoir déjà été victime d’insultes sur les réseaux sociaux. Le cyber-harcèlement peut conduire au suicide chez les personnes les plus vulnérables.De plus, les réseaux sociaux offrent la possibilité de gagner en notoriété et visibilité rapidement auprès d’une grande audience. Cette visibilité est un tremplin pour les jeunes pour avoir des rémunérations en collaborant avec des marques. En revanche, une forte dualité malsaine s’installe entre ces jeunes influenceurs. Des « buzz » avec des propos haineux envers une personne sont exposés pour attirer davantage des abonnés. Cette pratique est une stratégie
Big Data et digital
Qu’est-ce que c’est la big data ? Ces données numériques représentent une véritable révolution économique ! Mais qu’est-ce que c’est la big data ? La big data est une grande quantité d’ensemble de données qui est collectées et stockées dans des ordinateurs. Le secteur du marketing digital, de la médecine, de la science, de la communication et de la météorologie utilise ces données pour aboutir à leur projet. Ces données peuvent être utilisées par les entreprises pour redéfinir une meilleure stratégie. Pour ajouter, ces données sont très volumineuses donc elles se stockent dans des logiciels spéciaux. Des outils de stockages sont mis à disposition pour mieux gérer les données : nous avons le « cloud computing » et les « supercalculateurs » qui sont des ordinateurs avec les plus hautes performances. Ce sont des ordinateurs très onéreux ! Il existe l’ordinateur « Titan » construit pour un laboratoire qui coûte plus de 97 millions de dollars ! De plus, la big data se caractérise par le volume, la vitesse et la variété. Avec la big data, nous pouvons traiter des grands volumes de données très rapidement. Les données sont transmises directement à la mémoire puis tous les types de données sont analysées (les réseaux sociaux, les textes, les images, les vidéos). Le développement de la big data a été primordial pour pouvoir mieux gérer les informations qui ne cessaient d’augmenter à cause des utilisateurs d’internet. En effet, les données numériques sont principalement le résultat des actions des utilisateurs sur internet. Nous produisons 2 500 000 000 milliards de données tous les jours sur internet ! Par exemple, un message envoyé depuis son smartphone, une vidéo envoyé sur facebook ou encore l’actualisation de la météo en direct produisent des données. La big data a donc permis d’obtenir des réponses plus complètes pour les entreprises ! D’ailleurs, il existe des nombreux métiers liés à la data : nous avons un « data analyst », un « data scientist », un « big data architect » et un « chef de projet data ». Par contre, les enjeux du big data sont de garantir la qualité des informations, d’optimiser le traitement des données, d’assurer la sécurité des données puis d’humaniser les données. Pourquoi la big data est essentiel dans le monde du digital ? Depuis 2012, le marketing digital a été victime de l’accumulation des données car c’est le secteur qui regroupe le plus de données pour effectuer des ventes. Alors, les entreprises ont opté pour « la big data » pour pouvoir se confronter à la forte évolution des données. Pour ajouter, les données sont qualitatives ou quantitatives. Ensuite, elles sont rassemblées en interne ou en externe. Le concept est de collecter et stocker les informations de tous les clients pour pouvoir mettre en place des stratégies. La big data est essentiel dans le monde digital car ces données apportent des solutions et des réponses adéquates aux problèmes rencontrés au sein d’une entreprise. En outre, la big data contribue au développement des nouveaux produits de l’entreprise. L’entreprise peut anticiper la demande en utilisant des données et des analyses provenant des réseaux sociaux et marchés test. Netflix a opté pour cette stratégie pour pouvoir répondre aux besoins des clients rapidement. De plus, nous pouvons rassembler des données issues des médias sociaux, des visites sur les sites internet et d’autres sources pour améliorer l’expérience client des consommateurs. Ensuite, la big data permet d’assurer une meilleure sécurité en repérant les fraudes. Nous pouvons aussi analyser les retours et les commentaires des clients pour améliorer la prise de décision de l’entreprise pour pouvoir mieux subvenir aux besoins des clients. L’entreprise a une meilleure efficacité opérationnelle par la suite. D’autant plus, nous pouvons dynamiser l’innovation des produits en exploitant ces informations. Ces données vont permettre de pouvoir mieux comprendre les tendances et les souhaits des clients. L’entreprise va offrir des nouveaux produits avec des tarifs dynamiques. Enfin, la big data permet de mieux cibler l’audience de la marque en regroupant toutes les informations des clients. C’est pourquoi, nous pouvons faire « du retargeting ». Les entreprises ont recours aussi à la « machine learning » pour anticiper avec précision les potentielles actions des consommateurs. Cette stratégie consiste à utiliser les datas insérées dans les cookies des visiteurs pour ensuite diffuser des annonces publicitaires sur le site internet pour que les clients puissent les recevoir. L’entreprise peut alors personnaliser et adapter ses offres pour ses cibles en temps réel grâce à ces données. Pour conclure, la data est donc un indicateur essentiel pour faire des études de marché ou connaître les préférences des clients. Des logiciels sont mis à disposition par les entreprises pour utiliser correctement ces données telles que le digital analytique, le CRM et les logiciels de ventes. Ces outils permettent de développer indirectement le chiffre d’affaires des entreprises ! En revanche, nous avons des entreprises qui ne souhaitent pas utiliser cet outil car cela représente un investissement très couteux. Le principal frein est aussi le manque de compétence des salariés pour travailler avec la big data. Une mauvaise manipulation de la part des employés pourrait entrainer des pertes monétaires pour l’entreprise. Une erreur de recrutement peut mener également à des pertes financières. Quels types de données existent-ils ? Il existe trois types de données liées au marketing digital. Nous avons les données collectées qui regroupent les précédentes campagnes de communication digitale ou les suivies des clients récoltés par l’entreprise. Ces données permettent de mieux comprendre les habitudes et les comportements d’achats des clients. Ensuite, nous avons les données auto-générées qui sont un ensemble de données textuelles disponibles sur internet. Généralement, ces données sont rassemblées grâce aux commentaires des clients sur les réseaux sociaux ou encore sur le blog du site internet. Pour finir, nous retrouvons les données open data qui composent des informations accessibles partout sur internet comme la météo ou les transports. Sources : https://www.journalducm.com/big-data-revolution-numerique/ https://smart-seven.fr/big-data-au-service-du-marketing-digital-definitions/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Titan_(supercalculateur) https://www.oracle.com/fr/big-data/what-is-big-data.html https://www.emarketerz.fr/big-data-revolution-marketing-digital/ https://davidfayon.fr/2018/09/big-data-marketing-digital-avantages-intelligence-artificielle-equipe-marketing/ https://www.citizencall.fr/blog/big-data-marketing-digital/ https://www.leslivresblancs.fr/dossier/le-marketing-predictif-le-machine-learning-au-service-de-la-donnee https://inventiv-it.fr/2019/10/08/big-data-pour-les-nuls-notions-de-base/
École supérieure du digital pour travailler dans le commerce et l’économie numérique
École supérieure du digital pour travailler dans le commerce et l’économie numérique Dans le monde de l’entreprise, l’importance du numérique est désormais capitale et il est indispensable de lier la stratégie commerciale de l’entreprise avec les outils digitaux, comme le site de l’entreprise, ses réseaux sociaux, ses applications et son volet e-commerce. Pour un étudiant, poursuivre des études dans une école supérieure du digital qui intègre l’économie numérique est une stratégie gagnante qui va lui permettre de choisir sa carrière professionnelle, avec des perspectives d’évolution très intéressantes. Pourquoi choisir des études dans une école supérieure du digital La digitalisation de la société a créé un nouveau mode de fonctionnement pour les entreprises qui doivent désormais toujours tenir compte de leur stratégie digitale. On imagine mal aujourd’hui une entreprise, même petite, évoluer sans un relais sur Internet. Toutes ces sociétés ont donc besoin d’experts qui ont suivi une école supérieure du digital pour faire la passerelle entre l’activité concrète et physique de l’entreprise et son relais dans le monde virtuel d’Internet. Le virtuel sert à optimiser le réel et cette tâche ne s’improvise pas. Les écoles de commerce qui intègrent totalement la dimension de la stratégie digitale forment des étudiants polyvalents dont les entreprises ont grand besoin. Pourquoi enseigner la stratégie digitale Internet est devenu un lieu incontournable où une entreprise crée sa vitrine d’exposition. Elle va y faire sa promotion et bâtir sa notoriété. Les études de commerce et d’économie numérique vous apprennent à créer le marketing, la stratégie digitale et la communication de l’entreprise qui amènent les prospects sur le site Internet de l’entreprise (ou ses réseaux sociaux ou son application). En créant du trafic et en générant des visites, l’entreprise gagne en visibilité et en popularité, ce qui constitue la première base de la stratégie digitale. En optimisant les nouveaux moyens de communication induits par Internet, vous créez un nouveau canal d’acquisition porteur qui doit à terme générer un chiffre d’affaires en hausse. École supérieure du digital : Tout savoir de la communication digitale Pour être capable de créer une stratégie digitale cohérente et efficace, l’école supérieure de commerce axe une partie de son enseignement sur l’application bien réelle à chaque type d’entreprise. La façon de procéder n’est pas la même selon que vous travaillez pour une PME qui exerce localement ou pour un grand groupe international. Les études de commerce et du digital vous apprennent à analyser chaque situation et à décider du positionnement marketing que doit adopter la société. Vous orientez ensuite votre stratégie marketing en fonction de la nature de la société. Il faut définir un objectif (déclencher un achat sur le site, faire venir le client dans votre boutique physique, demander un devis…), puis créer votre stratégie digitale en conséquence. La communication digitale s’adapte à la forme de l’entreprise. L’école supérieure de commerce intègre obligatoirement le volet publicitaire, c’est pourquoi ses programmes peuvent parfois s’apparenter à ceux d’une école supérieure de publicité. Le web a créé une économie vraiment particulière, car, si la publicité payante est présente bien sûr, il existe d’autres modes d’action pour faire progresser son site qui ne relèvent pas directement de l’achat publicitaire. Outre les partenariats promotionnels qui existent sur Internet, comme dans l’économie classique, il faut tenir compte des « maîtres de la toile », les moteurs de recherche qui ont une action déterminante sur l’avenir de votre société. Une école de commerce et du numérique consacre une grande partie de ses programmes à la compréhension du web. Le commerce compte désormais une nouvelle dimension régie par les algorithmes de Google et des autres moteurs de recherche qui peuvent vous propulser en tête de leur page de résultats pour un succès certain, mais aussi vous relayer dans des pages que personne ne consulte, vous condamnant ainsi à ne pas être visité. Mêler les programmes d’une école supérieure du digital à ceux d’une école supérieure de publicité permet de maîtriser à la perfection la synergie qui se crée naturellement entre la stratégie digitale pure et la publicité. École supérieure du digital : Quelles études de commerce choisir pour être le plus performant Les écoles de commerce ont muté et proposent des cursus qui intègrent obligatoirement l’économie du numérique et la stratégie digitale, en plus des matières purement liées à la vente. Il faut bien comprendre que les stratégies commerciales doivent toujours être enseignées, mais elles doivent être enrichies d’une nouvelle branche : la stratégie digitale. Vous pouvez poursuivre des études plus ou moins longues dans une école supérieure du digital, allant du Bachelor à Bac + 3, au MBA et ses spécialisations à Bac + 5. Il est crucial dans votre choix de choisir une école qui soit réellement ancrée dans la réalité. Le commerce, tout comme la stratégie commerciale, sont deux disciplines dont il faut connaître les bases théoriques, mais qui doivent nécessairement être explorées sur le terrain. À cette fin, il est fondamental que l’enseignement de la stratégie digitale soit complété par des stages en entreprise. Chaque année, l’étudiant doit aller tester ses connaissances théoriques sur le terrain, afin d’en comprendre les applications concrètes. Ces stages sont très importants pour l’avenir, car l’étudiant peut observer la réalité de l’entreprise, commencer à rencontrer des professionnels et créer son propre réseau de connaissances. Les stages à l’étranger sont également très formateurs et votre école supérieure peut vous proposer de partir quelques semaines ou quelques mois pour une session en immersion. Vous allez pouvoir développer vos compétences linguistiques qui sont toujours un atout précieux sur un CV et vous allez aussi découvrir d’autres modes de vie et d’autres modes de pensée. L’ouverture d’esprit est une qualité très recherchée dans le commerce. Il est important de pouvoir innover et se renouveler. Plus vous disposez de modèles différents, plus vous êtes capable de créer de nouvelles stratégies commerciales et digitales. D’autre part, vous devez vous assurer que l’enseignement de votre future école supérieure du digital et du commerce vous assure un suivi personnalisé. Au cours de travaux dirigés ou de travaux
École web : 5 métiers d’avenir
École web : 5 métiers d’avenir En poursuivant vos études post baccalauréat dans une école web de commerce et d’économie numérique, vous pourrez ensuite accéder à une multitude de métiers du web. Vous pourrez postuler des emplois dans des entreprises dont le métier est dans le domaine de l’informatique, mais vous aurez également la possibilité de choisir n’importe quel secteur d’activité, car toutes les sociétés ont désormais besoin de personnels maîtrisant le marketing digital et les technologies liées au web. Voici 5 exemples de métiers du numérique, accessibles après un cursus dans une école comme l’ESCEN. 1 – École web : Développeur d’applications mobile Le métier de développeur d’applications mobiles est assez récent, mais connaît une croissance exponentielle. Pour y accéder, il faut passer par une école web et obtenir au minimum un BTS SIO, option SLAM (Solutions Logicielles et Applications Métiers) ou un Bachelor Web marketing. En poursuivant encore les études jusqu’au Mastère, le futur développeur devient encore plus pointu. Le développeur d’application mobile est forcément un passionné des nouvelles technologies. Il doit apprendre plusieurs des langages de programmation, ainsi que les règles spécifiques du développement sur smartphone et tablette. Il peut travailler en agence, en freelance ou pour l’entreprise qui gère l’application. Il commence par analyser le cahier des charges établi par le chef de projet, avec qui il travaille en étroite collaboration. Il élabore ensuite la solution technique qui répond à l’objectif visé et réalise ensuite le développement technique, jusqu’à la mise en œuvre de l’application mobile. Pour cela, il travaille avec l’équipe de web design et de production de contenu. L’application est ensuite testée, avant d’être lancée sur le marché. Le développeur en assure la maintenance pour corriger les bugs et réaliser des mises à jour contenant de nouvelles fonctionnalités. Il s’agit donc d’un métier extrêmement technique, mais aussi créatif, qui demande une grande rigueur. 2 – Web marketeur La mission du web marketeur est d’augmenter le trafic et les ventes d’un site Internet. Ce métier est accessible à partir d’un Bachelor Webmarketing, donc bac + 3. Le web marketeur doit maîtriser à la fois le web et son marketing. Il conçoit une stratégie de communication qu’il doit ensuite mettre en œuvre pour augmenter le trafic du site, ainsi que les ventes directes ou prises de contact, selon le domaine de l’entreprise pour laquelle il travaille. Le web marketeur doit être polyvalent, car il doit connaître la technique, être capable d’analyser la concurrence, savoir comment gérer les relations clients, mettre en place des partenariats, posséder un sens créatif, suivre les tendances, savoir analyser les audiences d’un site, créer un tunnel de vente… Agissant comme un chef d’orchestre, le web marketeur est à la fois capable de travailler en autonomie, mais il doit aussi savoir s’intégrer dans une équipe et travailler avec des techniciens, des commerciaux, des publicitaires, ainsi que des créatifs. Il dépend du directeur marketing et doit être assez proche de la direction. Il travaille au sein d’une agence web, ou directement dans l’entreprise dont il gère le site. 3 – Responsable e-commerce Le responsable e-commerce a idéalement suivi un cursus de Mastère Web Business, soit bac + 4. Ce spécialiste de la vente en ligne est en charge du développement des ventes sur Internet. Qu’il s’agisse de produits ou de services, il doit tout connaître du marketing digital et s’appuie sur le site Internet, mais aussi les réseaux sociaux de l’entreprise. Ses connaissances sont techniques et commerciales et il doit posséder un talent d’analyseur pour comprendre la stratégie de ses concurrents. Responsable e-commerce est un métier où les horaires n’existent plus vraiment, car la vente en ligne fonctionne en permanence. Il est indispensable de mettre en place des techniques de veille pour ne jamais rien rater de ce qui se passe en ligne, sur sa propre boutique et chez les concurrents. Le responsable e-commerce élabore la stratégie en ligne selon le budget dont il dispose et il en assure le suivi. Son travail est un éternel recommencement, car il doit sans cesse s’adapter aux progrès technologiques, autant qu’à l’évolution des tendances et des goûts des consommateurs. 4 – École web : Chargé de communication web Le chargé de communication web est issu d’une école web où il a obtenu au minimum un Mastère Web Business, ou avoir suivi un cursus Grande École bac + 5. Il gère l’image sur Internet de l’entreprise pour laquelle il travaille, ou pour un client de son agence. C’est un as des NTIC, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. Le chargé de communication web établit le lien entre l’entreprise et les internautes. Grâce à ses connaissances en communication digitale, il conçoit les messages qui vont valoriser l’image de l’entreprise sur Internet et fédérer l’engouement des visiteurs du site de l’entreprise, et de ses réseaux sociaux. Il peut également s’adjoindre les services d’influenceurs qui vont renforcer ses canaux d’acquisition. Selon le budget dont il dispose, il peut également développer les campagnes publicitaires web payantes. S’il travaille pour une grosse entreprise, il devra également se charger de la communication interne, destinée au personnel. À cette fin, il met en place des outils comme un blog, un intranet et tout autre moyen pour faire vivre l’esprit de l’entreprise et créer de l’émulation entre ses employés. Bien sûr, il doit analyser les résultats de chacune de ses actions, afin d’en mesurer la portée et décider si elles doivent être poursuivies en l’état, modifiées ou abandonnées au profit d’autres stratégies plus efficaces. Le chargé de communication web connaît tous les acteurs influents du web et il sait choisir le mode d’expression le plus pertinent, en fonction de l’activité de son entreprise. Il doit être rigoureux et méthodique, doit savoir travailler en autonomie, ainsi qu’avec les acteurs internes de la société, mais aussi externe avec les agences de communication et les influenceurs. Il est important qu’il soit un excellent communicant, tant à l’écrit qu’à l’oral. 5 – Ingénieur systèmes et réseaux L’ingénieur système et réseaux assure la
École de commerce à Lyon : 9 astuces pour bien la choisir !
École commerce à Lyon : 9 astuces pour bien la choisir ! Si vous avez décidé d’intégrer une école de commerce Lyon, vous devez effectuer un choix pour déterminer quelle est la meilleure pour vous. Lyon est une ville étudiante très dynamique et les formations de l’enseignement supérieur sont nombreuses. Voici les principaux critères pour trouver l’école de commerce Lyon qui vous offrira les meilleurs débouchés. École de commerce à Lyon : Les formations proposées L’offre pédagogique de l’école de commerce Lyon doit être la plus large possible. Tâchez de vous procurer la brochure de l’école pour pouvoir étudier en détail les formations proposées, ainsi que les programmes. Parcourez son site Internet pour voir s’il est bien conçu et toujours à jour, cela vous donne un indice sur son sérieux. Il est préférable d’avoir la possibilité de poursuivre vos études le plus longtemps possible. Si vous vous engagez dans un cursus post bac de mastère spécialisé, vous devez ensuite avoir la possibilité de vous diversifier avec un MBA ou continuer avec un cursus Grande École. École de commerce à Lyon : La reconnaissance des diplômes L’école de commerce Lyon que vous allez choisir doit être connue et reconnue. Ses diplômes doivent être répertoriés au RNCP (le Répertoire National des Certifications Professionnelles). Vous avez ainsi la certitude que votre diplôme est reconnu par l’État et adapté au marché de l’emploi français. Le titre RNCP peut vous permettre d’accéder à des équivalences lorsque vous avez terminé un cursus et que vous souhaitez en intégrer un nouveau. Il est aussi important pour les recruteurs qui peuvent juger de la pertinence de votre formation. Pour vérifier que votre école de commerce Lyon propose des diplômes certifiés RNCP, vous devez vous rendre sur le site de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle. Des programmes élaborés par un personnel compétent La qualité des programmes et des professeurs est naturellement un facteur très important. Les professeurs et intervenants doivent conserver avec le monde du travail des liens forts pour élaborer des programmes en cohérence avec les besoins des entreprises. Certains intervenants peuvent être des chefs d’entreprise qui viennent dispenser ponctuellement quelques heures de cours, mais passent la majorité de leur temps dans leur entreprise. Votre école de commerce Lyon peut aussi créer un comité spécifique pour l’élaboration des programmes. Il sera composé de professeurs, mais aussi de recruteurs et de chefs d’entreprise qui sont les plus compétents pour juger des matières et des sujets à enseigner. L’enseignement pratique, les stages et l’alternance Votre école de commerce Lyon doit vous proposer plus qu’un enseignement théorique. Les cours magistraux sont indispensables, mais ils doivent être enrichis par d’autres enseignements plus pratiques et plus ancrés dans la réalité du terrain. Les travaux pratiques et travaux dirigés L’école de commerce doit organiser des travaux pratiques et des travaux dirigés qui vous permettent d’étudier seul ou en équipe des cas concrets pour vous préparer aux différentes situations que vous allez rencontrer lorsque vous travaillerez. Elle peut également vous proposer des conférences organisées avec des chefs d’entreprises et des consultants. École de commerce à Lyon : Les stages Les stages en entreprise sont extrêmement formateurs. Ils sont indispensables chaque année. Si vous avez intégré une école de commerce Lyon, mais que vous ne connaissez personne, votre école de commerce doit être capable de vous mettre en relation avec des entreprises susceptibles d’embaucher des stagiaires. Il est normal qu’une école d’enseignement supérieur ait tissé des liens avec les entreprises locales. La formation en alternance La formation en alternance est une excellente opportunité pour effectuer une transition entre l’enseignement supérieur et le monde du travail. Pendant une année, vous allez passer trois semaines en entreprise et une semaine à l’école. Vous pouvez ainsi effectuer un travail suivi et constructif et vous familiariser avec le travail en entreprise. La formation en alternance est reconnue par tous les employeurs qui apprécient de voir de jeunes diplômés qui ont le sens des réalités. Le taux d’insertion professionnelle des étudiants étant passés par l’alternance est supérieur à celui des élèves qui ont suivi un cursus classique. Là encore, votre école de commerce Lyon pourra vous proposer de contacter des entreprises dont elle est partenaire. La possibilité de partir étudier à l’étranger Une école de commerce se doit d’être ouverte sur l’international. Nous vivons dans un monde globalisé et vous devez pouvoir faire quelques expériences à l’étranger. L’école de commerce Lyon que vous choisissez doit pouvoir vous proposer des stages en entreprise à l’étranger ou des stages de formation ailleurs qu’en France. C’est pour vous l’occasion de progresser en langues étrangères et de vous ouvrir sur d’autres cultures. Comme elle a des partenaires locaux, une école de commerce doit avoir des partenariats avec des écoles et des entreprises à l’étranger. Vous pourrez ainsi participer à des programmes d’échange sur d’autres continents. Rencontrez les professeurs et les anciens élèves Les écoles de commerce Lyon organisent souvent des journées portes ouvertes durant lesquelles ils reçoivent de potentiels candidats. Prenez le temps de participer à ces journées, car elles vous donneront l’occasion de rencontrer des professeurs, ainsi que des élèves de l’école. Vous pourrez juger de l’infrastructure de l’école et de l’accueil de l’équipe pédagogique. C’est aussi l’occasion de voir si l’école est facilement accessible par les transports en commun et si elle est implantée dans un environnement qui vous plaît. Rencontrer des élèves de l’école vous permet de confronter la réalité de terrain avec ce qu’annonce la brochure de l’école. Grâce à une journée portes ouvertes, vous pourrez vous faire une idée plus précise de l’école, ce qui vous aidera à prendre votre décision. Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux