Le mobile et son futur
Ce vendredi 21 mars, le Hub Institute organise, en partenariat avec Orange et la Mobile Marketing Association, une matinée dédiée au mobile et son avenir. A l’heure où le Mobile World Congress de Barcelone se termine, le mobile est plus que jamais d’actualité est représente une importante source de développement pour les entreprises. Avec des investissements sur le mobile qui ont augmenté de 57% en 2013, ce seront 70% des devices qui seront mobiles à l’horizon 2017 ! A l’occasion de cette rencontre, 15 experts du mobile présentent les innovations clés du marché : Geofencing, iBeacon, couponing, NFC, paiement mobile, croissance de la vidéo et des usages mobiles des réseaux sociaux, formats innovants, m-commerce, mobile display… Le HUBDAY Future of Mobility : vendredi 21 mars de 8h30 à 13h00, Paris 8ème. Découvrez le programme en partenariat avec Orange et la Mobile Marketing Association et demandez votre invitation : http://hubinstitute.com/sections/events/hub-day/mobility/
A vos CV !
La semaine de l’emploi dans le numérique par Frenchweb Du 3 au 9 mars prochain, Frenchweb organise une semaine dédiée aux rencontres avec les entreprises du secteur du numérique qui recrutent. L’occasion donc pour les chercheurs d’emploi dans le secteur et les étudiants en quête de stages de faire des rencontres décisives. Cette semaine permettra de dresser les portraits des entreprises du numérique en recherche de talents, et présenter les métiers du numériques, encore en plein développement. Ce sera également l’occasion de faire un focus sur les différents secteurs d’activités du milieu, des agences de communication aux régies publicitaires, en passant bien évidemment par le e-commerce. Pour suivre l’événement sur Twitter : #SENFW et #FrenchTech [TEASER] La semaine de l’emploi dans le… par frenchweb
Le numérique : des métiers d’avenir
Le Syntec a réalisé entre février et juin 2013 son Contrat d’Etudes Prospectives. L’étude identifie les besoins en compétences et en recrutement de la filière numérique à horizon 2018 et dresse la cartographie de l’offre de formation initiale et continue dans les différents domaines du numérique. Selon le rapport, le secteur du e-commerce devrait créer 5000 emplois d’ici 2018. Celui du web, 10 000 emplois sur la même période. Aucun métier n’est en récession ou en déclin dans ces deux secteurs. L’étude propose des fiches métiers sur ces métiers liés au numérique, détaillant le descriptif, les compétences requises, ainsi que les secteurs associés. Référencement naturel (SEO), payant (SEA), Community Management, Web Analytics, Web Design, Chef de Projet Web, Data Scientist, etc.. Autant de métiers bientôt incontournables en entreprise. Sur chaque métier et secteur, le Syntec a également dressé un tableau sur l’évolution des métiers et activités concernés et par le numérique, en indiquant les métiers les plus susceptibles de progresser dans les prochaines années. Le secteur du web et du e-commerce ont donc de beaux jours devant eux, avec des perspectives d’évolution record pour 2018. Des postes de community manager, data scientist ou web designers seront, dans les années à venir des postes clés en entreprise. Retrouvez toute l’étude détaillée en .pdf : cep_numerique_rapport_final_2013
Le commerce réinventé – Tech Days Microsoft 2014
Retour sur les Tech Days de Microsoft aujourd’hui, et plus particulièrement sur la journée de jeudi 13 février, plus tournée commerce que technologie. Nous avons assisté à une conférence particulièrement intéressante intitulée « Réinventer le commerce pour le conso numéricus », avec comme intervenants Jean-Marc Megnin, Directeur Général chez ShopperMind, Vincent de Schryver, Responsable Marketing Cross Canal chez Leroy Merlin et David Legrand, Directeur Général du groupe Korben/Beaumanoir. Le tout animé par Marc Jalabert, Directeur Général de la Division Grand Public de Microsoft. A l’occasion de cette rencontre, chaque intervenant a dévoilé sa vision du commerce appliqué au web. C’est un secret pour personne, les habitudes des français ont profondément évolué ces dernières années avec les évolutions constantes du web. Les consommateurs de plus en plus exigeants et informés entrent désormais en magasin en sachant exactement ce qu’ils veulent y trouver. Pour Jean-Marc Megnin, de Shoppermind, l’observatoire d’analyse stratégique des Comportements Shopper et de l’évolution du Commerce (du groupe Altavia), le magasin tel que nous l’avons connu dit « brick and mortar » va sensiblement continuer à évoluer dans les années à venir pour mener à une complémentarité entre les différents canaux. Désormais, pour faire venir ses clients en magasin il faut avoir une stratégie en ligne. L’observatoire a réalisé en début d’année une étude sur l’évolution du commerce : Best Of Altavia Watch 2013 (Retail Innovations) – Version française from AltaviaWatch Dans le cas de Leroy Merlin, Vincent de Schryver a pu constater qu’à présent les premières visites des consommateurs se font avant tout en ligne et par la suite en magasin pour finaliser les projets avec éventuellement un conseiller d’achat sur place. Ce que l’on appelle alors le web-to-store. Dans le cas du groupe Korben/Beaumanoir, David Legrand prend l’exemple d’une de leur marque. Le Magasin Morgan a mis en place des cabines d’essayages interactives, équipées d’écrans tactiles. « En s’appuyant sur la RFID, la cabine digitale reconnait les vêtements que la cliente souhaite essayer et lui propose, via un écran présent dans cette cabine, de demander d’autres tailles ou couleur de ces mêmes-vêtements, mais aussi d’associer ces articles avec d’autres produits, ou de finaliser sa commande sur internet en cas d’indisponibilité en magasin. Ce service permet aux vendeuses de s’appuyer sur un premier filtre facilitant les préconisations style, mais aussi d’identifier plus rapidement un produit et l’état des stocks en magasin – c’est un gain majeur en temps et en efficacité ! » C’est donc maintenant aux points de vente de s’adapter aux attentes des consommateurs et non plus le contraire. L’expérience client prend ici toute sa valeur et il est à présent indispensable pour les entreprises de pouvoir mêler monde réel et digital.
MOOC : bientôt incontournables ?
A l’occasion de la conférence-débat « MOOC : au-delà de l’effet de mode, un vrai changement », Charles, étudiant en Master à l’ESCEN Paris a interviewé Eric Matarasso sur l’avenir des Massive Open Online Courses. En trois mots pourriez-vous décrire les MOOC ? « – Révolutionnaires, car ils remettent en question l’ensemble de l’accès au savoir universel. – Chers, très chers car il faut se donner les moyens de réussir, l’excellence se paye ! – Incontournables, si l’on veut accompagner la connaissance des nouvelles technologies. Dans combien de temps pensez-vous que les MOOC commenceront à être incontournables ? « Dans moins d’un an les MOOC seront dans les mœurs. Certains responsables des Ressources Humaines, comme Jean Noël THIOLLIER (actuel DRH de Tech Data), croient déjà beaucoup aux MOOs. Ils vont bientôt bouleverser les classements traditionnels des écoles. Les recrutements professionnels se feront plus sur la compétence que sur dossier scolaire ! Les MOOC s’adapteront au marché et favoriseront ces nouvelles démarches. Pour le moment, nous sommes dans la phase « communication », il faut faire le buzz ! Puis viendra la phase de monétisation, 2ème étage de cette fusée. » Que permettront concrètement les MOOC ? « Les personnes sont de plus en plus autonomes. Le Web et les nouvelles technologies y sont pour beaucoup ! Ils ont dorénavant les moyens de se former seuls, en continue et sans frontières. Les MOOC permettront de recruter de véritables talents, parfois même les meilleurs du monde, via des teste online sans limites géographiques. Le talent est un « produit » qu’il faut former tout au long de sa vie et qu’il faut réussir à vendre. » Eric MATARASSO est Associé de l’agence Quatre Vents, cabinet conseil en marketing et communication. Les MOOC sont des cours en ligne ouverts et susceptibles d’être suivis par toute personne ayant accès à Internet. Diffusant des connaissances sur tous les sujets possibles, ce sont tout d’abord les grandes université américaines comme le MIT, Berkeley en passant par Yale ou Harvard ou encore Stanford qui se sont lancées dans l’aventure des MOOC avant que le phénomène ne se répande partout dans le monde. Pour visionner la vidéo de l’événement : www.quatrevents.fr/r/synthese_MOOC
Le point sur le e-Commerce
En ce début d’année, intéressons-nous au milieu du e-Commerce. Comment ce secteur se porte-t-il ? Webroyalty a sorti récemment une infographie faisant le point sur le secteur sur l’année 2013 : De son côté, la FEVAD (Fédération E-commerce et Vente A Distance) a sorti en fin d’année 2013 sa rétrospective sur l’année ici. Les soldes d’été et d’hiver et la période de fin d’année sont donc propices au e-Commerce. Toujours d’après la FEVAD, le panier moyen serait passé de 116€ à 119€ en 1 an sur la première semaine des soldes de 2014. Conclusion : le e-Commerce a de beaux jours devant lui !
Base de données unique et CRM
Aujourd’hui, il est question de base de données unique. Les annonceurs apportent de plus en plus d’importance à cet outil devenu maintenant incontournable. Qu’est-ce qu’une base de données unique ? Quel intérêt peut-elle représenter pour les annonceurs ? Quels usages pouvons-nous en faire ? Et dans quel but ? Le site e-marketing.fr s’intéresse au CRM (Costumer Relationship Management) et à l’intérêt pour les annonceurs d’utiliser la base de données unique pour le mieux, en s’appuyant sur le premier Observatoire du marketing client UDA/Médiapost Publicité/Ginger : l’enjeu est la BDD unique mais la quête est difficile. A ce stade, la base de données est un sujet sensible en entreprise. A l’heure du user centric, et de la multiplication des canaux de communication, il est devenu primordial pour les entreprises de se recentrer sur les clients et leurs habitudes de consommation. Il faut désormais mieux cibler, pour mieux toucher. Athénaïs Rigault, Directrice hors-média de l’UDA (l’Union Des Annonceurs) explique ainsi que plus de la moitié des annonceurs déclarent rencontrer des problèmes dans la gestion de leur base de données. Alors que certains manquent de temps ou bien d’outils adaptés à l’entreprise, le véritable problème concerne bien les compétences qui manquent cruellement pour mener à bien cette nouvelle stratégie. L’interviewée évoque pleinement le manque de formation des diplômés des grandes écoles à l’heure actuelle. Les master spécialisés de l’ESCEN ont cette vocation là : former les professionnels « hybride » de demain avec des compétences spécifiques d’un domaine en particulier en gardant la dimension du commerce en général.