Du Bac aux métiers du Digital
Vous êtes en classe de Terminale cette année. Quelque soit votre filière, vous vous posez des questions sur votre aptitude à rejoindre une filière digitale. Ce qu’il faut retenir, c’est que pour rentrer dans une filière digitale et à terme intégrer les métiers dans ce secteur, il y’a quatre éléments essentiels à retenir. 1. Ce ne sont pas des métiers exclusivement techniques Le premier, c’est qu’au final, ce ne sont pas des métiers qui sont exclusivement techniques. Au contraire, si vous êtes sur Internet aujourd’hui, vous pouvez constater qu’il y’a beaucoup de contenu : que ce soit du contenu écrit, du contenu photo ou du contenu vidéo. Cela reste l’apanage de ces métiers-là puisqu’il faut être capable de pouvoir écrire et créer du contenu de manière à rentre attractif les sites internet. 2. Comprendre l’environnement d’une marque Le deuxième sujet qui est important, c’est qu’au-delà de la partie technique et au niveau de cette capacité à créer du contenu, le sujet est d’arriver à comprendre l’environnement d’une marque ou d’une entreprise pour être capable de créer du contenu qui soit conforme à cette stratégie-là. 3. Une curiosité intrinsèque Le troisième élément à retenir, c’est l’aspect relatif à une curiosité intrinsèque que vous devez avoir pour pouvoir être constamment alertes sur les nouvelles méthodes liées au digital et faire en sorte d’être méthodique. En effet, même si on s’affranchit de la partie technique, il faut avoir une grande rigueur de travail pour être à la hauteur des exigences de ces métiers du digital. 4. Les différentes catégories de métiers dans le digital Vous vous posez la question sur différentes catégories de métiers qui peuvent exister dans le digital. Il faut retenir d’abord, c’est qu’il y’a les métiers de l’informatique, qui font partie des premiers métiers liés à l’activité numérique en terme d’ancienneté. La deuxième famille de métiers qui émerge depuis une dizaine d’année, c’est le webdesign qui vous confronte à la création plutôt artistique dans le milieu numérique. Enfin, vous avez les métiers du marketing digital, qui sont ni plus ni moins les métiers auxquels prépare l’ESCEN. Pour en savoir plus : www.escen.fr Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux
L’Afterwork en Entreprise
L’importance des Afterwork en entreprise L’Afterwork est la nouvelle méthode utilisée par les entreprises afin de souder leur équipe autour d’un verre après le travail et ce mensuellement ou même hebdomadairement. Décompression et bonne humeur doivent être au rendez-vous ! L’Afterwork, nouveau temps fort de la vie d’équipe ? En entreprise comme en sport collectif, la cohésion d’une équipe est un élément clé de sa performance et de ses résultats. Pour qu’une équipe fonctionne, il est essentiel que chacun soit à son poste, joue son rôle et sache qu’il peut compter sur ses collègues. Cela passe bien sûr par la bonne connaissance des missions de chacun, l’écoute, les travaux de groupe mais également par les moments de convivialité qui permettent d’entretenir l’ambiance et de découvrir ses collègues (voire ses responsables) dans un contexte différent. Dans le monde du travail, deux grands formats sont mis en pratique pour entretenir la convivialité : Les petits déjeuners improvisés pour fêter un anniversaire, une naissance, un départ en vacances ou même le départ d’un employé. Initiés par n’importe quel salarié, ces moments permettent de partager une bonne nouvelle avec quelques collègues choisis (par affinité ou proximité) Des afterworks organisés à l’avance, auxquels tous les salariés (du service, de la direction voire de l’entreprise selon sa taille) sont invités par l’intermédiaire d’un sondage Doodle Véritables temps forts de l’entreprise, ces moments festifs sont planifiés à fréquence régulière (ex le 1er jeudi de chaque mois) par un collaborateur désigné ou les Ressources humaines. Au service du resserrement des liens entre salariés, ils peuvent aussi permettre de célébrer les succès de la période écoulée (contrats décrochés, projets terminés…). En quoi consiste cette pratique de plus en plus répandue en France ? Comme son nom l’indique, l’Afterwork est un concept anglo-saxon qui se passe après la journée de travail de 18h30 à 21h généralement. On se retrouve dans un bar à proximité du bureau pour boire un verre avec ses collègues et se détendre avant de rentrer chez soi. Même si la plupart disent apprécier ces moments, moins d’un sur deux y participe de façon régulière (selon un sondage Opinionway, un site de sondage professionel). Principaux motifs avancés ? Des raisons familiales ou, comme c’est le cas dans beaucoup d’entreprises, il n’y a pas de budget dédié et chacun doit régler ses consommations. Pour contrer ces désagréments, des opérations de Beforework ont vu le jour dans certaines grandes villes anglo-saxonnes (comme San Francisco, Los Angeles, Londres ou Sidney). Au programme : des activités de réveil matinal à faire ensemble avant d’aller au bureau. Pensez-vous que cela se développera en France d’ici quelques années ? En tout cas, participer à ces manifestations extra-professionnelles, qu’elles soient matinales ou nocturnes, favorise l’intégration de chacun au sein d’une équipe et permet de rencontrer d’autres personnes de son entreprise, de tous statuts, sans relations professionnelles au quotidien. Comment se comporter à un Afterwork en tant que Stagiaire ? En tant que stagiaire au sein d’une entreprise, vous serez peut-être un peu timide dans votre travail ainsi qu’avec vos collègues. C’est pourquoi il faut profiter des Afterwork pour apprendre à connaître personnellement le plus de personnes possibles. Le travail reste au bureau et laisse place à un véritable moment d’échange. Restez vous-même et discutez de tout et de rien avec vos collègues. Cela instaurera un sentiment de confiance et de bien-être pour le déroulement de votre stage. Cela vous permettra aussi de savoir avec qui vous avez le plus d’affinité au sein de la boite. J’ai donc pu, tout au long de mon stage, apprendre à connaître les personnes de mon équipe au sein de ces afterwork, et ceci m’a permis de me sentir mieux parmi eux. L’ambiance au bureau est plus détendue après ces moments de partage, et l’entente entre chacun bien meilleure. L’afterwork est donc pour une équipe de salariés ce que la troisième mi-temps est pour une équipe de sportifs : un temps essentiel pour le bien-être de chacun et le mieux-vivre ensemble ! Je vous mets donc à disposition la liste des bars « Afterwork » de Lyon ici. N’hésitez pas à partager vos expériences en commentaire ! Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux
L’Inbound Marketing
L’inbound marketing est une stratégie marketing dit en “entonnoir”. La stratégie consiste à transformer un simple “inconnu” en ambassadeur de votre marque, à travers tout un ensemble d’actions marketing. Construite en quatres grandes étapes, l’inbound marketing s’oppose à l’outbound marketing. Le premier consiste à attirer un prospect potentiel à travers des méthodes marketing, alors que le second consiste à aller chercher un client potentiel à travers la prospection pour ensuite lui proposer du contenu marketing. Cette stratégie a montré son utilité du fait de sa facilité de mise en oeuvre (elle reste tout de même complexe dans son optimisation) et du fait des résultats qu’elle produit. L’inbound marketing est aussi une méthode peu coûteuse, c’est pourquoi elle s’est très vite démocratisé. De plus, elle paraît moins violente pour le consommateur puisque c’est lui qui s’est à l’origine tourné vers la marque. Il ne faut cependant pas rejeter entièrement l’outbound marketing, un mixe des deux méthodes confère plus de résultat que l’utilisation d’une seule méthode. La proactivité de l’un, s’harmonisant avec la réactivité de l’autre. La première étape : Attirer du trafic La création de trafic se fait à travers la rédaction de contenus de qualité, le plus souvent avec l’utilisation de mots clefs qui permettre aux moteurs de recherches d’identifier directement le ou les sujets du contenu et le proposer aux internautes. Différents supports se prête à la création de contenus tels que les blogs, les réseaux sociaux ou des pages de sites internet par exemple. Le mix des différents supports engendre évidemment un plus fort trafic. Plus le contenu est important, plus vous aurez la possibilité d’utiliser l’ensemble des mots clefs intéressés. Cependant le plus important est de proposer un contenu de qualité. En effet, il faut bien retenir une règle importante : un contenu en quantité mais un contenu de qualité ! Avec cette première étape, l’anonyme qui ne vous connaissait pas devient donc un visiteur. Il faut maintenant que le visiteur s’intéresse à votre marque, votre produit ou votre service. La deuxième étape : convertir le visiteur en prospect Cette deuxième étape de l’inbound marketing repose sur l’incitation à l’action de l’internaute. Pour convertir le visiteur en prospect, en d’autres mots pour valider le fait qu’un simple visiteur soit un client potentiel il faut lui proposer différentes actions telles que des call-to-action, des formulaires ou du contenu à télécharger. Pour nourrir sa base de données et de contact, il faut proposer du contenu dit “premium” comme par exemple un rapport d’étude ou un livre blanc qui sera téléchargeable en l’échange d’une inscription ou d’un like sur les réseaux sociaux. La troisième étape : transformer ses prospects en clients Grâce aux données (email, réseau social,…) que vous avez pu recueillir lors de la deuxième étape, vous êtes maintenant en mesure de relancer votre prospect. C’est dans cette étape que la création de campagne de newsletter de qualité rentre en compte. Utilisez vos compétences en personnalisation d’e-mailing ou de marketing automation pour optimiser votre taux de conversion. Il est très important de surveiller constamment la qualité de votre base de contacts pour mieux répondre aux attentes de vos cibles. La quatrième étape : la fidélisation client Votre inconnu est devenu un client, mais le chemin ne s’arrête pas là ! Le but de la quatrième étape est de transformer votre client en ambassadeur de votre marque pour qu’il puisse promouvoir vos produits ou préserver l’image de votre marque. Mais comment vous y prendre ? Plusieurs méthodes s’offrent à vous. La fidélisation clients passe par l’utilisation de nombreux moyens comme la présence sur les réseaux sociaux ou la création de produits ou services destinés aux meilleurs ou plus anciens membres de la marque. L’objectif est de montrer que la relation entre la marque et le client ne s’arrête pas après l’achat mais que le client sera de plus en plus gagnant à être fidèle à la marque. Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux
La prise de parole en public
Tout au long de notre vie, nous avons eu à parler devant plusieurs personnes. Présenter un exposé quand nous étions jeunes élèves, parler du dossier réalisé dans le cadre d’un mémoire en études supérieures, ou encore s’exprimer en tant que professionnel face à des prospects sont des exercices qui ponctuent notre vie. Exercices qui ne sont pas toujours évidents, lorsque l’on manque de pratique et d’aisance. Si pour certaines personnes, prendre la parole est naturellement facile, pour d’autres, cela peut s’apparenter à une corvée, un moment de stress important avec une peur : perdre ses moyens. Comment peut-on assurer lors de prises de parole face à un public ? Quelles sont les clés pour captiver son auditoire ? Inspirez-vous de grands orateurs Nous avons tous entendu une excellent orateur une fois dans notre vie : les hommes politiques, à l’image de Barack Obama, l’ancien Président des Etats-Unis d’Amérique, ou encore de grands entrepreneurs comme Steve Jobs, regretté cofondateur d’Apple savaient s’exprimer et capter l’attention. Il est possible de s’exprimer avec une telle aisance et du charisme avec un peu d’entraînement. Commencez déjà par analyser l’attitude de ces grands orateurs, par exemple l’une des traditionnelles Keynotes pour le lancement d’un produit Apple. Steve Jobs est un excellent exemple pour toutes les personnes qui veulent pouvoir gagner en confiance lors de leur prise de parole en public. Il sait de quelle manière il peut emmener son public avec lui lors de ses discours, sans avoir été formé à cela. Il applique quelques méthodes indispensables pour que chaque discours se passe de la meilleure des manières, car cela permet de présenter un produit, un service, ou même soi. Tout est question de présence physique En analysant la vidéo, nous voyons qu’il se déplace sur la scène. Vous ne serez peut-être pas amené(e) à vous exprimer sur une scène face à une large audience, mais vous aurez tout de même votre espace : exploitez-le au maximum. Il faut pouvoir être présent physiquement dans cette zone pour pouvoir interpeller l’ensemble des personnes qui vous écoutent. Si vous restez statique, votre stress va se voir d’autant plus et votre auditoire va s’ennuyer. Le mouvement dynamise le discours. Vivez votre discours Un autre point qui est important et qui est parfaitement exprimé : la ponctuation et le ton du discours. Si votre discours est monocorde, sans accentuation de termes, votre public ne retiendra pas grand chose de votre allocution. Le débit de vos paroles est lui aussi important. Si vous parlez trop vite, votre discours ne sera pas compris par tous, et si vous parlez lentement, le public s’ennuiera. Adoptez un débit de parole normal, ni trop surjoué, ni trop robotique. Et surtout, évitez les “heu”, “mmmh” ou les grands moments de silences au milieu d’une phrase : vous perdez en crédibilité. En revanche, n’hésitez pas à faire des petites pauses entre vos idées, cela permet de structurer votre discours. Alternez entre faits pratiques, anecdotes pour appuyer votre discours et humour. Steve Jobs maîtrise particulièrement cet exercice, avec sa référence à la tablette des 10 commandements pour la touche d’humour. Clin d’oeil réussi, il réussit à faire rire et applaudir son public, comme le ferait un humoriste lors d’un spectacle. Mais il arrive aussi à expliquer les caractéristiques techniques de son produit sans perdre l’attention de son public. Construire une relation avec son auditoire, un moment capital Lorsque vous serez amené(e) à parler, n’hésitez pas à travailler votre langage corporel, qui a un impact essentiel sur la relation que vous allez tisser avec les personnes qui sont présentes pour vous écouter. Si vous regardez chaque personne de votre auditoire, elles se sentiront incluses dans votre discours, et vous écouteront. A l’inverse, si vous ne restez fixé que sur un point, et pire, sans regarder personne, votre discours tend à perdre toute la teneur et la portée que vous souhaitez lui donner. Un très bon exercice est de s’exprimer face à un groupe de personnes, face à soi. Dès que les yeux de la personne qui parle se posent sur un membre du public, ce dernier s’assoit. L’objectif est qu’à la fin du discours, toutes les personnes soient assises. Au niveau du langage pur, il y a certains mots qu’il faut éviter d’employer : tous les termes négatifs, ou qui pourraient faire baisser votre crédibilité. Pensez positif ! En somme, tout est une question de self control. Enfin, lorsque vous préparez ce discours, ou cet oral, entraînez-vous et respirez ! L’entraînement vous permet de gagner confiance en vous, car plus vous allez parler, plus vous serez à l’aise sur le sujet, et sur la structure de vos paroles. Vous pouvez vous entraîner face à un miroir pour travailler votre gestuelle, et vous expressions corporelles. Vous verrez ainsi quelle image vous renverrez aux personnes qui vous écouteront. Maintenant que vous avez toutes les clés pour gérer au mieux votre allocution, il ne vous reste plus qu’à les mettre en pratique. Vous pouvez aussi vous entraîner face à vos proches pour gagner en confiance et recevoir des conseils extérieurs indispensables pour améliorer votre discours et l’impact que ce dernier aura sur votre public ! SOURCES : http://wording-factory.com/les-8-secrets-des-plus-grands-orateurs/ https://www.humaindigital.com/barrack-obama-orateur-ideal/ Découvrez aussi d’autres écoles du Groupe NEXT! Bachelor Institute : Découvrez aussi notre Bachelor Sport Management / Bachelor Luxe / Bachelor Évenementiel, à Lyon, Paris et Bordeaux Magnum : Découvrez le BTS Viti/Vinicole, à Lyon, Paris et Bordeaux Atlas : Découvrez le BTS Tourisme et nos campus de Lyon, paris et Bordeaux Webtech : Découvrez le BTS SIO et nos campus de Lyon, Paris et Bordeaux Escen : Découvrez notre école de commerce à Paris, Lyon et Bordeaux
Boostez vos Connaissances en Autonomie
Comment booster ses connaissances en autonomie en 4 étapes ? Il y a 5 ans, vous ne rentriez pas de vos soirées en Uber, vous ne partiez pas en vacances avec AirBnb et vous ne passiez pas vos soirées devant Netflix. En 5 ans, les inventions et les progrès technologiques se sont accélérés et notre société s’est lentement transformée pour se diriger vers une ère plus collaborative. Ce qui est certain est que notre avenir est incertain, et le changement permanent. C’est pour ces raisons qu’il est essentiel aujourd’hui de se tenir au courant de ce qu’il se passe autour de soi et autour du monde, d’autant plus dans le domaine du digital ! Ce que vous avez appris il y a 6 mois de cela n’est peut-être plus valable aujourd’hui. Alors comment booster vos connaissances en autonomie ? 1. Lisez La lecture est bénéfique à tout point de vue : pour votre santé physique, morale, et pour approfondir vos connaissances. Les livres étaient et sont toujours des trésors d’informations en tout genre. Leadership, Développement Personnel, Référencement, Graphisme… Les ressources ne manquent pas. Et si vous avez la chance de comprendre l’anglais, ne vous limitez pas aux ouvrages Français ! Si la plupart des sujets sont immuables, n’oubliez pas que le digital évolue rapidement : fiez-vous plutôt aux derniers ouvrages en date du genre. On dit qu’un leader lit en moyenne 2 livres par mois (Mark Zuckerberg le fait pour n’en citer qu’un 😉 ). Mais la lecture ne s’arrête pas aux livres papiers. Il existe d’autres alternatives aux quelles on ne pense pas forcément, comme les livres audio. « Je n’ai pas le temps ni l’argent pour lire autant !» ne sera plus une excuse. Les livres audio sont plus accessibles en terme de prix et de timing. Vous pouvez par exemple profiter de votre trajet pour aller au boulot – en voiture ou dans les transports – pour apprendre à petites doses. 2. Assistez Quand je dis assister, je parle d’assister à des cours, des formations ou des conférences tenues par de véritables experts dans leur domaine. Avec la lecture, vous stimulez votre intelligence visuelle. En conférence, ce sont tous vos sens qui sont impliqués dans votre apprentissage. Renseignez-vous sur ce qu’il se passe près de chez vous : Le site Eventbrite (https://www.eventbrite.fr/) vous permet de trouver et vous inscrire à des évènements en tout genre comme des cours, ateliers, réunions, etc… Les CCI (http://www.cci.fr/) les plus proches de chez vous organisent régulièrement des conférences ou séances d’informations sur de nombreux sujets, dont le numérique. Et le plus souvent, elles sont gratuites. Et si vous ne souhaitez pas vous déplacer, vous pouvez avoir recours aux sites de cours en ligne comme Skillshare (https://www.skillshare.com/ – anglais seulement) ou Openclassrooms. Openclassrooms (https://openclassrooms.com/) propose même des parcours 100% en ligne qui sont – cerise sur le gâteau – diplômants. De nombreux sujets sont couverts en ligne. 3. Échangez Peu importe votre métier ou votre formation, il est toujours intéressant d’échanger avec des personnes qui occupent des postes similaires au vôtre ou dans le même domaine. Chaque personne a ses petits secrets, ses petites astuces et en échangeant, vous vous donnez les moyens d’apprendre « plus que de la théorie ». Entre la théorie et la pratique, il y a parfois un gouffre. Et toutes les personnes qui sont sur le terrain ont bien pu le constater. Les bonnes astuces de confrères sont parfois plus précieuses qu’une semaine entière de formation. Et puis, le networking vous permettra aussi de tisser des liens qui serviront votre business voire votre carrière. On dit que voyager ouvre l’esprit, mais les rencontres l’enrichissent aussi. Pour échanger entre professionnels, vous avez le choix. Vous pouvez vous créer un profil sur LinkedIn et profiter de ce réseau pour bâtir votre propre cercle de relations et échanger avec les professionnels qui vous intéressent. L’abonnement premium peut se révéler être un investissement très rentable. Twitter est aussi un réseau inclin aux échanges professionnels. Vous pouvez aussi Adhérer aux associations spécialisées. Il existe de nombreuses associations pour les professionnels qui pourront vous aider à construire votre cercle professionnel. Le BNI, la JCEF (pour les jeunes entre 18 et 40 ans), l’APM, les CJD n’en sont que quelques exemples. Renseignez-vous autour de vous et trouvez l’association qui correspond le plus à vos valeurs et à vos objectifs. 4. Veillez Rien ne vaut la veille… Personnellement, je consacre au moins une matinée entière par semaine à ma veille. Et par veille je ne parle pas seulement de veille concurrentielle. Le monde bouge vite, et se tenir au courant régulièrement de ce qu’il se passe autour de soi est primordial pour enrichir ses connaissances et parfois prendre une longueur d’avance sur la concurrence. En veillant, vous devenez pro-actif et vous vous enrichissez rapidement. Pour veiller, vous pouvez : Vous abonner aux newsletters de blogs et journaux spécialisés. Les newsletters vous donnent un aperçu rapide des nouvelles tendances, vous n’avez plus qu’à choisir de lire ou non les articles les plus intéressants. Dans le digital et l’entrepreneuriat, Le Blog du Modérateur, Frenchweb et Maddyness sont des ressources très intéressantes à suivre. Regardez ce que font vos concurrents et les grandes tendances du marché (études publiées, etc…). Pinterest se révèle être un trésor d’informations encore trop méconnu. Pourtant, de nombreuses infographies y sont postées, et ce, sur tous les sujets (marketing, psychologie, santé, cuisine, etc…). C’est vraiment pratique et vous apprenez tout ce qu’il faut en un seul coup d’oeil. Scrutez les réseaux sociaux ! LinkedIn, Pinterest, Twitter… Vous y trouverez énormément de profils et d’influenceurs et autres leaders intéressants à suivre. Les réseaux sont certes une distraction mais ils peuvent apporter énormément en terme d’apprentissage et de renseignement. Pour résumer, si vous souhaitez booster vos connaissances en autonomie, respectez ces 4 étapes : Lire, Assister, Échanger et Veiller. Avec une bonne organisation, vous trouverez toujours un peu de temps libre pour apprendre. Il suffit simplement d’en avoir l’envie et de bien se planifier ses « moments » d’apprentissage. Bravo ! Vous êtes arrivés au bout de cet article. Comme
Le Growth Hacking dans la stratégie de marketing digital
Le Growth Hacking, qu’est-ce que c’est ? Le terme “growth hacking” est souvent bien mal compris, et les informations trouvées sur internet sont généralement plus ou moins correctes. En quoi consiste-t-il ? Est-ce le futur des produits internet ? Pour y voir un peu plus clair… L’expression “Growth Hacking” a été inventée par Sean Ellis en 2010, bien que le concept existe depuis plus longtemps. Sean Ellis expliquait sa frustration, lorsqu’il était embauché : Sean a aidé un certain nombre de start-up, entreprises, sociétés Internet à atteindre une croissance incroyable, et quelques-unes d’entre elles ont même eu une introduction en bourse. Il a mis en place des systèmes, processus et mentalités afin de développer la croissance des entreprises. Ces techniques étaient destinées à rester après son départ ; alors il remettait les clés à un autre marketeur. C’est là que les problèmes ont commencé. Sean demandait des spécialistes du marketing, mais ces marketeurs n’étaient pas qualifiés pour cette nouvelle stratégie. Alors sur son blog, il a changé son titre et a remplacé par « Trouvez un Growth Hacker pour votre start-up ». Et l’idée est née. Cet accent absolu sur la croissance a donné naissance à un certain nombre de méthodes, d’outils et de pratiques, qui n’existaient tout simplement pas dans le répertoire marketing traditionnel et, au fil du temps, l’abîme entre les deux disciplines s’est approfondi. Le Growth Hacker, qui est-il ? Les “growth hackers”, utilisant leur connaissance du produit et de la distribution, trouvent des voies de croissance ingénieuses, basées sur la technologie, qui repoussent parfois les limites de ce qui est attendu, conseillé ou même légal. Chaque décision prise par un Growth Hacker est influencée par la croissance. Chaque stratégie, chaque tactique et chaque initiative est tentée dans l’espoir de faire croître l’entreprise. Bien sûr, les commerçants traditionnels se soucient également de la croissance, mais pas dans la même mesure. Rappelez-vous, le pouvoir d’un Growth Hacker réside dans son obsession pour parvenir à cet objectif. L’un des aspects fondamentaux de tout Growth Hacker, quel que soit son origine, est son amour, sa dépendance et sa compréhension de l’analyse.Un Growth Hacker n’est pas meilleur qu’un marketeur. Pour utiliser la définition la plus succincte de l’article de Sean Ellis, « Un Growth Hacker est une personne dont le vrai nord est la croissance ». Processus du Growth Hacking Avant de plonger dans les tactiques spécifiques qu’un Growth Hacker utilise, il est utile d’aborder les quelques étapes qui lui traversent l’esprit, lorsqu’il développe une entreprise. Définir des objectifs réalisables. Mettre en oeuvre des analyses pour suivre les objectifs fixés. Tirer parti des forces existantes. Exécuter l’expérience. Optimiser l’expérience. Obtenir du trafic Ne vous concentrez pas uniquement sur le trafic. C’est important, mais ce n’est pas tout. Il y a trois façons d’obtenir du trafic sur votre site : Tirer – Vous les incitez à venir à vous. Push (pousser) – Vous les forcez à venir vers vous. Produit – Vous utilisez votre produit pour qu’ils viennent. Quelques exemples de méthodes “tir” pour générer du trafic : SEO Concours Webinaires Une méthode “push” implique généralement d’interrompre le contenu qui est consommé, et elles coûtent généralement de l’argent. Vous devez comprendre la valeur des clients ; il ne faut pas dépenser plus d’argent sur un client que nécessaire. Voici quatre exemples de tactiques “push” : Acheter des annonces Promo Échange Affiliés Les ventes directes Méthode AARRR AARRR est un acronyme, utilisé pour illustrer les cinq étapes du Growth Hacking, ou du développement d’une start-up. Acquisition Activation Rétention Référence Revenus Comment les utilisateurs nous trouvent ? ↓ Premiers pas pour se faire connaître ↓ Réseaux sociaux Première impression véhiculée par le produit/service : positive ou non ? ↓ Faire bonne impression Est-ce que les utilisateurs reviennent ? Est-ce que les utilisateurs parlent de nous ? ↓ Bouche-à-oreille Comment se faire de l’argent ? ↓ Transformer les utilisateurs en chiffre d’affaires Sources : https://www.lafabriquedunet.fr/blog/comprendre-growth-hacking-5-minutes/ https://www.definitions-marketing.com/definition/growth-hacking/
Comment créer un CV original ?
Créer un CV original Votre CV est la première impression que votre employeur aura de vous-même. Il doit donc renvoyer une image positive et avenante de qui vous êtes réellement. Pour cela, il est important de travailler son design ainsi que son contenu tout en choisissant le bon modèle de CV. Un CV bien organisé va capter l’attention d’un employeur, tandis qu’un CV dénué de design passera à l’oubli. Vous pouvez donc maximiser vos chances d’obtenir des entretiens avec un CV de qualité. Modèle de CV – outil gratuit : Il existe plusieurs sites web permettant de créer son CV en ligne de manière simple et gratuite. Pour commencer, je vous conseille d’utiliser Canva : site de création design de toutes sortes. Ce site vous permettra de choisir parmi des templates le squelette de votre CV qui vous plaît le plus. Une fois votre template choisi, vous allez pouvoir commencer à alimenter votre CV. Canva est un des outils gratuits préféré de nos étudiants en Bachelor Webmarketing qui sont à la recherche d’un stage ou d’une alternance. Mettre une photo : La photo est indispensable sur un CV. La quasi-totalité des CV sans photo ne sont pas lus et finissent dans la poubelle de votre potentiel employeur. Quel dommage… Mettez une photo de vous en tenue professionnelle au format portrait : cela va accroître vos chances d’être rappelé. Il existe un site très utile pour faire évaluer la qualité de ses photos par d’autres personnes : Photofeeler. L’objectif de ce site est de rentrer une photo consultable par un public choisi (tranches d’âge, homme/femmes…) pour que celui-ci attribue une note à votre photo. Les personnes votantes vont aussi choisir certains adjectifs que vous semblez renvoyer à travers votre photo : paraissez-vous digne de confiance ? À l’aise ? Ou au contraire trop sûr de vous ? Il est important d’adapter sa photo au contexte : ne vous contentez pas de votre photo de profil Facebook pour votre CV. Alimenter son CV : Chaque expérience est importante à inscrire sur un CV. Même si vous hésitez à inscrire votre job de vacances de l’été 2016, faites-le ! Cela donnera de la confiance à votre employeur qui remarquera que vous avez déjà connu des expériences professionnelles. Si vous n’avez jamais travaillé, inscrivez vos diplômes et votre parcours en tant qu’étudiant. N’hésitez pas à élargir vos qualités/compétences/centres d’intérêts pour alimenter votre CV. Si vous avez fait partie d’une association ou que vous avez une passion, mentionnez-le. Votre employeur va forcément vous questionner sur toutes ces choses, tenez-vous prêt ! L’originalité de votre CV : C’est d’abord grâce à votre CV et votre lettre de motivation que vous décrocherez peut-être un entretien pour un job. Plus votre CV est original, plus vous vous démarquerez des autres, ainsi vous maximiserez vos chances d’être reçu en entretien. N’hésitez pas à adapter votre CV à l’entreprise à laquelle vous l’envoyez : vous pouvez changer le ton des couleurs pour adopter celles d’une entreprise, changer une police d’écriture ou encore glisser un clin d’œil discret dans votre CV (touche d’humour, anecdote en rapport avec l’entreprise). Si par exemple vous changez les couleurs de votre CV pour celle de l’entreprise à laquelle vous postulez, elle se sentira davantage concernée par votre CV. Vous aurez donc attiré son attention. De plus, cela révèle un côté créatif qu’un chef d’entreprise appréciera toujours. Jouez la simplicité : Un employeur peut très rapidement obtenir jusqu’à 100 candidatures pour un poste de stage. Dans ces cas-là, il ne passera pas plus de 10 secondes sur votre CV lors du premier tri. C’est pourquoi il faut produire un CV simple et efficace. Faites en sorte que vos informations soit lisibles facilement et rapidement : le design doit rester esthétique sans être compliqué. Malgré une image très importante, l’employeur va d’abord regarder vos diplômes/qualités/expériences : c’est pourquoi votre CV doit être le plus lisible possible. Pour conclure, votre CV doit être agréable au coup d’œil par son esthétisme et sa simplicité. L’employeur doit comprendre qui vous êtes et ce que vous avez réalisé comme travaux/études à ce jour. Si vous êtes encore jeune et étudiant et pensez que votre CV est plutôt vide, alimentez-le sur votre personne : qualités, centres d’intérêts, bénévolat… Cela prouve que vous êtes unique et donc différent des autres candidats. Ne mentez pas, soyez prêt à répondre à toutes les questions de la part de votre employeur. Après tout, si vous décrochez un entretien, le sujet principal de la discussion sera vous et les tâches que vous aurez à accomplir. Aucune raison de stresser, personne ne vous connait mieux que vous même.
Préparer son départ pour Singapour…
Dès Janvier, les étudiants en 4ème année à l’ESCEN partent pour deux mois à Singapour. La parfaite occasion pour eux de renforcer leur expertise en stratégie internationale. Pour les plus stressés à l’idée de quitter notre cher pays, pas de panique, voici quelques petits conseils pour survivre à votre aventure à Singapour ! Reprenons pour ceux qui n’auraient pas suivi les cours de géographie à l’école : Singapour est une île d’Asie du Sud située à la pointe Sud de la Malaisie et à l’est de l’île indonésienne de Sumatra. Cette ville-Etat compte plus de 4 millions et demi d’habitants et présente surtout une grande diversité ethnique et culturelle, et un dynamisme étonnant. Le climat Ce petit archipel bénéficie d’un climat tropical, chaud et humide et de températures oscillant entre 20 et 30°c toute l’année. Cependant, si durant les mois de Janvier et Février les fortes chaleurs ne sont pas trop présentes, c’est en revanche la période des moussons ! Pas de panique, les averses ne durent que quelques minutes avant que le soleil ne revienne. Alors n’oubliez pas les accessoires indispensables de tout bon Singapourien…. Le parapluie et le maillot de bain ! Se loger Pour cette destination encore, pensez à la colocation ! Car oui, se loger à Singapour coûte cher, mais pas de panique il est tout à fait possible de trouver un logement adapté à votre budget et à la durée de votre séjour. Tournez-vous plus particulièrement vers les long-term Serviced Apartments. Ce sont des appartements entièrement meublés prêt à être habités, dans des résidences toutes équipées , avec un budget raisonnable, et accessibles même sans connaître la durée exacte de votre séjour, ce qui vous donne la possibilité d’allonger ou de raccourcir votre contrat. Attention, il faut tout de même prévenir un mois avant votre départ. Les étrangers se logent en général dans des condominiums. Ce sont des résidences équipées de piscines, jacuzzis, salles de sport, jardins, BBQ.. On peut trouver tous types d’appartements dans les condos : studio, lofts, 1, 2, 3, 4 bedrooms apartments. L’autre option est le HDB. Beaucoup moins luxueux qu’un condominium le HDB offre essentiellement de grands appartements du type 3 bedrooms , mais sont amplement suffisant si vous ne souhaitez pas utiliser de piscines, jacuzzis etc. Sachez que l’on trouve des condos dans tous les quartiers de Singapour, alors que les HDB se trouvent seulement dans certains quartiers, dans des « HDB Estates ». Côté budget, il faut compter en moyenne, environ 800-1800 SGD pour une chambre dans une colocation dans un condo. Attention, les locations de moins de 6 mois via AirBNB sont considérées comme illégales à Singapour ! Voici quelques liens qui pourraient vous être utiles : Easy roomate Singapour Century21 Singapour 9 Flats La gastronomie Où manger ? Que manger ? Autant de questions que se posent les plus gastronomes (ou gourmands…) d’entre vous ! Et bien sachez que toutes les nationalités présentent à Singapour contribuent à faire de cet archipel un haut lieu gastronomique. Vous pourrez sans souci trouver de la cuisine malaise (du peuple Malais), indienne, indonésienne, chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, française (eh oui !), italienne, anglaise, mexicaine… Il existe cependant certaines spécialités phares, qui, si elles n’ont pas été créées à Singapour même, font office de plats nationaux, et que vous devez goûter au moins une fois durant votre séjour. Le chicken rice Une spécialité de l’île de Hainan au sud de la Chine, d’ailleurs si vous souhaitez en commander à Singapour, le nom complet de ce mets traditionnel est “ Hainanese Chicken Rice”. Le plat se compose de poulet cuit à la vapeur accompagné de riz cuit dans le jus, et servi avec des sauces aux piments, au gingembre et au soja. En dehors du fait d’être délicieux, il présente aussi l’avantage d’être très accessible aux Européens, car il n’est ni trop épicé, ni trop étonnant ! Le Fish head curry Ce plat originaire du sud de l’inde est un peu plus surprenant que le chicken rice, mais tout aussi bon lorsqu’il est bien cuisiné. Le plat se compose d’une tête de poisson, en général du rouget, du mérou ou de la lotte, accompagné d’une sauce au curry très épicée. Le chili crab et black pepper crab Le chili crab est comme son nom l’indique du crabe cuit dans une sauce épicée ou au poivre que l’on mange avec les doigts. Certains restaurants le vendent parfois très cher ! Le Carrot cake (chai tow kueh) Attention, celui-ci n’a rien à voir avec le carrot cake que l’on peut manger en occident. Cette recette consiste à faire frire des cubes de farines de riz et de radis blanc dans une omelette avec quelques oignons. Une version avec de la mélasse existe aussi. Les fruits Singapour regorge de fruits qui nous sont totalement, ou presque, inconnus ! Laissez vous par exemple tenter par le durian, presque aussi gros qu’un ballon de foot, recouvert de piques et très reconnaissable grâce à son odeur ! Il est d’ailleurs interdit dans certains lieux publics… Rassurez-vous, la chair n’a pas le goût de son odeur ( et heureusement…). En revanche, c’est un fruit assez cher. Vous pouvez également goûter le ramboutan (rouge et rond et dont la saveur rappelle celle du litchi), le mangoustan ( soit disant le meilleur des fruits tropicaux, de la taille d’une petite orange et au gout de framboise), et le fruit du dragon ( rose à l’extérieur et blanc avec de petites graines noires à l’extérieur). Vous pourrez trouver tous ces fruits dans les échoppes des Hawkers et Food courts, coupés en rondelles ou en brochettes, en smoothies, en jus… Boissons Au vu de la météo, mieux vaut fuir les sodas ! Pour vous désaltérer, préférez les jus de fruits frais, et les smoothies que vous pourrez trouver dans un Food court, à des prix peu élevés. L’alcool en revanche, est assez cher. Pour les amateurs de bière, goûtez à la tiger Beer et à la ABC, une bière brune
Alternance, quel contrat choisir et quelles alternatives ?
Bien que l’alternance soit une réelle ouverture vers le monde professionnel, il n’est pas toujours évident de choisir le type de contrat qui nous correspond. Contrat de professionnalisation ou d’apprentissage ? Nous vous proposons ici de comparer les deux. Si vous n’avez pas trouvé d’entreprise et que les refus s’amoncellent, nous vous proposons également quelques alternatives à l’alternance. Les contrats de professionnalisation Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail en alternance qui permet de lier formation pratique dans une entreprise et formation théorique en cours. Destiné aux jeunes de 16 à 25 ans, il prend la forme d’un contrat à durée indéterminée avec une activité de professionnalisation comprise entre 6 et 12 mois et d’un contrat à durée déterminée qui correspond à la période d’action de professionnalisation comprise entre 6 et 12 mois minimum. Il vous permettra d’obtenir une qualification enregistrée au répertoire national des certifications professionnelles et reconnues dans les classifications d’une convention collective nationale de branche ou ouvrant droit à un certificat de qualification professionnelle. Outre le fait de booster votre employabilité, il offre surtout de nombreux débouchés : l’embauche définitive est souvent la suite logique de ce contrat. La rémunération dépend de votre âge et de votre niveau d’étude, mais elle est fixée à 814 euros par mois si vous avez moins de 21 ans et la rémunération maximale est le smic ou 85% du salaire minimum conventionnel. De plus, cette formation est financée par la formation professionnelle grâce à un prélèvement sur la masse salariale des entreprises. Ces dernières peuvent parfois prévoir des rémunérations supérieures aux minimums légaux. Les entreprises sont souvent séduites elles aussi par les contrats de professionnalisation. Les employeurs sont notamment exonérés des cotisations patronales d’assurances sociales et dispensés de l’indemnité de fin de contrat si vous êtes en contrat de professionnalisation en CDD. En plus de ça, la professionnalisation est aussi un gage pour l’entreprise de bénéficier d’un étudiant motivé, et susceptible d’être embauché sur des bases concrètes. Vous serez en effet traiter comme un collaborateur à part entière. Le contrat de professionnalisation vous permettra donc d’acquérir de l’expérience professionnelle et de concilier études et travail. Le contrat d’apprentissage Le contrat d’apprentissage représente le plus ancien et le plus utilisé des contrats en alternance. Il est pris en charge par les régions et est en plein développement dans l’enseignement supérieur. C’est un contrat de travail particulier qui peut être conclu en CDD ou en CDI, dans le dernier cas, et si l’embauche est effective, il n’y a pas de période d’essai à l’issue de la phase d’apprentissage. Il est signé pour une période de un à trois ans mais sa durée peut être prolongée si vous échouez à votre examen. Vous avez la possibilité non négligeable de signer plusieurs contrats d’affilée ce qui vous permettra de bâtir un parcours de formation diplômant et d’acquérir en même temps une véritable expérience professionnelle. En ce qui concerne la rémunération versée par l’employeur, elle est calculée en pourcentage du smic. Elle varie de 25% à 78% selon votre âge et votre année d’exécution du contrat. Grille de salaire en contrat d’apprentissage Moins de 18 ans 18-20 ans 21 ans et plus En 1re année 370 € 606 € 784 € En 2e année 547 € 725 € 902 € En 3e année 784 € 862 € 1 154 € Quelques alternatives à l’alternance… Les stages alternés La convention de stage alterné est peu connue est rarement promue. Pourtant, l’alternance ne se résume pas aux seuls contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Elle permet aux étudiants d’accéder au monde de l’entreprise et de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes. Sous forme de stage de longue durée, les stages alternés vous octroient le droit de conserver votre statut étudiant tout en bénéficiant d’une expérience sur le terrain. Le principe est simple : Comme une alternance classique, vous alternez période de cours et présence en entreprise. En revanche, vous signerez une convention de stage à la place d’un contrat de travail et ne serez donc pas salarié de l’entreprise. Convaincue de l’intérêt pédagogique et professionnel des stages alternés, les écoles supérieures et l’ESCEN notamment mettent en avant ce type de contrat. Pourquoi ? Et bien parce que son organisation est souple, et que les contraintes légales sont peu limitées. Les écoles sont également libres de choisir les modalités d’accompagnement, de financement et de rémunération. Une bonne solution pour vous…. Grâce à ce contrat, vous préservez tous les bénéfices liés à votre statut d’étudiant : accès au crous, au restaurant universitaire, ainsi qu’à la mutuelle étudiante, et votre gratification est obligatoire lorsque votre stage dépasse une durée de deux mois. A noté que le montant horaire est fixé à 15% du plafond horaire de la sécurité sociale (soit 3,6€ de l’heure) ou de la convention de branche, mais que vous pouvez bien évidemment négocier cette gratification avec votre entreprise d’accueil. En cas d’accident, et comme vous cotisez à la sécurité sociale, vous êtes immédiatement pris en charge, et êtes ainsi couvert quelque soit les risques encourus en entreprise ou sur le trajet du travail. Autre point positif non négligeable… Les entreprises ne font en général pas de différence entre un apprenti et un étudiant en stage alterné. Vos missions seront donc tout aussi intéressantes, responsabilisantes et professionnalisantes que si vous étiez en alternance. … Et pour les entreprises Toutes les entreprises ou même associations peuvent accueillir un stagiaire en alternance. Aucune habilitation particulière ne leur est demandée, si ce n’est de prendre en charge les frais de formation (si il y a), la rémunération du stagiaire et/ou ses frais professionnels. En échange, l’entreprise bénéficie du crédit d’impôt formation dans le cadre de ses dépenses liées à l’accueil de l’étudiant ou bien d’une déduction des frais et indemnités de stage sur la taxe professionnelle. Deux autres points à mettre en avant auprès des entreprises : la convention de stage leur permet de pallier un manque d’effectif, et surtout, l’entreprise n’a aucune cotisation sociale à payer si la gratification minimum n’excède
5 choses à savoir avant de partir à Montréal
Avant un départ à l’étranger, il est essentiel de se préparer afin de ne pas être pris au dépourvu. Pour partir à Montréal au Canada, voici 5 choses qu’un étudiant doit savoir afin de bien préparer son voyage en toute sérénité. 1 – Pour se loger à Montréal, la coloc, c’est le top : Se loger pas cher au Canada, si on s’y prend tôt et à plusieurs, c’est facile ! Privilégiez les sites internet comme Kijiji, Craigslist ou encore Airbnb où l’on trouve de grands logements qu’il est possible de louer avec des amis avant de partir à Montréal. Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le loyer moyen à Montréal pour un studio s’élève en moyenne à 485 € par mois en 2016. Ce prix peut varier selon que vous soyez proche ou éloigné du centre-ville. Pour les petits budgets, les quartiers à privilégier seront au nord-est de l’île (toute la pointe Est, Mercier, Montréal-Nord, ou encore Saint-Michel, Parc-Extension). Pour vous, nous avons déniché une carte interactive avec le prix moyen des loyers en fonction du quartier et du type de logement (idéal si on veut se renseigner avant de partir à Montréal) : Enfin, une des solutions les moins cher consiste à trouver une chambre directement chez l’habitant. Pour cela, vous pouvez passer par un site comme Chambre à louer. Cependant, faîtes attention aux conditions imposées par le propriétaire. Soyez transparent dès le début pour que votre séjour se passe sans problèmes. 2 – Les transport en commun restent pratiques et abordables : C’est la société STM qui gère tout ce qui est transport à Montréal avec 4 lignes de métro qui couvrent toute la ville. Les tarifs sont très raisonnables sachant que les bus sont également compris dans le forfait. Comptez 42,90 € pour un forfait mensuel pour un étudiant (sous présentation d’une attestation de scolarité) et 3,15 € pour un billet à l’unité. Et petit avantage, il y a le wifi dans certains bus, pratique non ? Plusieurs applications vous facilitent désormais la vie à l’étranger dont Citymapper, devenue indispensable de nos jours. En effet, celle-ci permet d’emprunter les transports en communs dans toutes les plus grandes villes du monde sans prise de tête. Citymapper est disponible sur desktop et sur mobile. Téléchargez l’app avant de partir à Montréal pour être sûr de bien vous orienter dès l’arrivée. Si vous avez peur de vous perdre dans la ville, sachez que Google Maps vous permet de télécharger un plan hors-connexion pour une centaine de Mo stockés sur votre téléphone. Vous pouvez faire la manipulation suivante avant votre voyage ou dès que vous avez accès à un réseau wifi. Rendez-vous sur Google Maps, cliquez sur « Plans hors connexion » puis « Sélectionner votre propre plan » pour choisir la carte à télécharger. Vous pourrez ainsi vous orienter si jamais vous vous éloignez trop de votre itinéraire. 3 – Le prix de la nourriture reste dans la moyenne des grandes villes canadiennes : A Montréal, les supermarchés pour faire vos courses ne manqueront pas. Cependant, les fruits, les légumes ainsi que la viande y restent un peu cher. Nous vous recommandons d’aller dans les marchés tels que le marché Jean Talon ou le marché Atwater. Le must serait d’aller à Costco, le deuxième plus grand distributeur mondial derrière Walmart, qui affiche des prix bas très intéressants. En ce qui concerne les restaurants, comptez en moyenne 12,60 € pour un repas. Pour votre budget nourriture, vous pourrez vous en sortir largement avec 170 € par mois en comptant les courses ainsi que les sorties au restaurant et aux bars. Un conseil : préparez votre liste de course bien à l’avance avant de partir à Montréal. 4 – Forfait téléphone à Montréal ? N’y comptez pas : Le Canada est l’un des pays où les forfaits téléphoniques sont les plus élevés du monde. 41,20 € par mois pour avoir les 50 minutes d’appels et 3 go de données mobiles. Autant vous dire qu’entre le wifi à l’école, dans la plupart des bars/restaurants ainsi que chez vous, prendre un forfait ne vaut pas le coût. Montréal dispose d’un grand nombre de spots wifi gratuits : le internet zap.coop les référence. Notre conseil : consultez le site zap.coop avant de partir à Montréal et notez les quelques spots de wifi gratuits qui sont facilement accessibles pour vous. 5 – Organisez de votre temps libre avant de partir à Montréal : Lorsque vous serez à Montréal, les activités pour occuper votre temps libre ainsi que vos weekends ne manqueront pas. Vous pourrez vous rendre en centre-ville pour visiter les musées et les galeries souterraines. Les musées sont en général gratuits ou à moitié prix le mercredi soir pour les expos temporaires. Ensuite, 250 espèces différentes d’animaux répartis sur cinq écosystèmes attendent impatiemment votre visite au Biodôme. Cette visite ne vous coûtera que 12,40 € sur présentation de votre carte étudiante. Pensez à la prendre avec vous avant de partir à Montréal car elle vous donnera peut-être accès à quelques avantages non négligeables. Si vous êtes un fan de cinéma, le Dollar Cinema situé à Namur permet de voir des films pour 2,10 € uniquement avec les confiseries à 0,84 €. Vous n’aurez peut-être pas accès aux dernières sorties, mais les films affichés au Dollar Cinema sont des films sortis dans les derniers mois. Par contre, pas de VF, mais je pense qu’il y a pire comme cours d’anglais. Voici donc nos meilleurs informations à savoir avant de partir à Montréal ! Et vous, quelles sont vos astuces en ce qui concerne la ville de Montréal ? Des endroits à proposer pour ceux qui sont déjà venus au Canada ?